Des contenus pornographiques accessibles -sans contrôle parental- via l'abonnement Kindle
Par Laurence - Publié le
Apparemment, certains contenus à caractère sexuel peuvent être accessibles par les enfants sur l'application Kindle via l'App Store et le Google Play Store.
Il est question d'érotisme (écrit) et de pornographie (photo) sur certains titres, qui auraient été créés via le service Kindle Direct Publishing d'Amazon. Pour rappel, ce dernier permet aux auteurs d'auto-publier des contenus sur Kindle Unlimited / Abonnement Kindle.
Pour rappel, l’Abonnement Kindle est
Le problème est qu'Amazon Kids+ dispose de mesures de protection pour les enfants de moins de 12 ans, contrairement à l'abonnement Kindle qui n'a pas de contrôle parental. Cette faille a donc permis un accès libre à des mineurs, et plusieurs signalements.
Dans la foulée, Amazon a immédiatement répondu :
De son côté, Apple s'est dit préoccupée par la situation et déclare
Des contenus pornographique en libre accès
Il est question d'érotisme (écrit) et de pornographie (photo) sur certains titres, qui auraient été créés via le service Kindle Direct Publishing d'Amazon. Pour rappel, ce dernier permet aux auteurs d'auto-publier des contenus sur Kindle Unlimited / Abonnement Kindle.
Pour rappel, l’Abonnement Kindle est
un programme qui permet aux lecteurs, moyennant un forfait mensuel, d’accéder à autant d’ebooks qu’ils le souhaitent pour une durée illimitée. Il est accessible en dehors d'Amazon Prime.
Une situation en cours d'investigations
Le problème est qu'Amazon Kids+ dispose de mesures de protection pour les enfants de moins de 12 ans, contrairement à l'abonnement Kindle qui n'a pas de contrôle parental. Cette faille a donc permis un accès libre à des mineurs, et plusieurs signalements.
Dans la foulée, Amazon a immédiatement répondu :
Nous nous engageons à offrir une expérience d'achat et de lecture sûre à nos clients et à leurs familles et nous prenons des questions comme celle-ci au sérieux. Nous examinons toutes les informations disponibles et prenons des mesures sur la base de nos conclusions.
De son côté, Apple s'est dit préoccupée par la situation et déclare
travailler (avec Amazon) pour nous assurer que leur application est conforme à nos directives. Histoire de bien se désolidariser, Google a renchéri en précisant que
le Google Play Storen'autorisait pas les applications qui contiennent ou promeuvent du contenu sexuel.