Swatch persiste: "Les montres connectées ne représentent pas une menace"
Par Didier Pulicani - Publié le
L'an dernier déjà, Nick Hayek semblait un brin dubitatif lorsqu'il évoquait les
Dans une interview donnée à Reuters, on apprend que le PDG de Swatch ne semble toujours pas motivé à l'idée de commercialiser une telle montre. Pourtant, ce n'est pas l'aspect technique qui semble rebuter la compagnie
Même si peu d'acteurs sont sur encore présents, le marché se développe doucement et toutes les grandes marques d'électronique s'y mettent. Hayek ne s'en inquiète pas, et y voit au contraire un regain d'intérêt pour la montre, un objet que beaucoup ont délaissé avec l'arrivée des mobiles.
Personne ne s'en souvient, mais Swatch s'était pourtant lancé discrètement sur le segment il y a quelques années, et la société suisse s'était alors associée à Microsoft pour récupérer les données tierces. Malheureusement, le produit (baptisé à l'époque
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Smartwatches, qualifiant l'écran de
beaucoup trop petit. L'homme était également très critique sur l'intérêt réel du produit. On y apprenait tout de même que la société avait travaillé avec Apple sur un modèle de générateur d'énergie par balancier, dans l'optique de recharger un éventuel appareil au poignet.
Dans une interview donnée à Reuters, on apprend que le PDG de Swatch ne semble toujours pas motivé à l'idée de commercialiser une telle montre. Pourtant, ce n'est pas l'aspect technique qui semble rebuter la compagnie
Nous avons le savoir-faire, mais nous ne voulons pas créer un concentré de technologies que personne ne voudrait acheter.
Même si peu d'acteurs sont sur encore présents, le marché se développe doucement et toutes les grandes marques d'électronique s'y mettent. Hayek ne s'en inquiète pas, et y voit au contraire un regain d'intérêt pour la montre, un objet que beaucoup ont délaissé avec l'arrivée des mobiles.
Les smartwatches représentent pour nous une opportunité. Si les gens qui n'avaient pas l'habitude de porter quoi que ce soit au poignet commencent à mettre ces "smartwatches", nous les convaincrons rapidement d'essayer de jolies montres à la place
Personne ne s'en souvient, mais Swatch s'était pourtant lancé discrètement sur le segment il y a quelques années, et la société suisse s'était alors associée à Microsoft pour récupérer les données tierces. Malheureusement, le produit (baptisé à l'époque
Paparazzi, photo ci-contre) n'avait pas rencontré un grand succès.
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