L'Apple Car pourrait bouleverser le monde des constructeurs automobiles
Par Laurence - Mis à jour le
Après les annonces de Bloomberg hier soir, c'est au tour de Morgan Stanley de se pencher sur la question de l'Apple Car. Ainsi la banque d'investissement s'est montrée des plus élogieuses concernant le produit en préparation, estimant qu'il s'agirait d'une
Elle estime que Cupertino appliquera la même stratégie qu'en matière de développement de la réalité virtuelle -à un rythme légèrement plus lent-, à savoir proposer un produit premium très abouti et se démarquant de la concurrence (en sachant qu'Apple n'a toujours pas confirmé l'existence ou le lancement de son casque de réalité mixte, même si elle continue de déposer de nombreux brevets sur le sujet).
Hier, Mark Gurman a prédit que la firme californienne sortirait une voiture entièrement autonome en 2025, sans même un volant ou des pédales. D'après les analystes, l'avènement de ce type de véhicules autonomes devrait prendre encore quelques années.
Enfin, Morgan Stanley soutient un raisonnement assez original.
version ultime pour les véhicules électriques, et qu'elle affecterait les actions des constructeurs automobiles.
Elle estime que Cupertino appliquera la même stratégie qu'en matière de développement de la réalité virtuelle -à un rythme légèrement plus lent-, à savoir proposer un produit premium très abouti et se démarquant de la concurrence (en sachant qu'Apple n'a toujours pas confirmé l'existence ou le lancement de son casque de réalité mixte, même si elle continue de déposer de nombreux brevets sur le sujet).
Hier, Mark Gurman a prédit que la firme californienne sortirait une voiture entièrement autonome en 2025, sans même un volant ou des pédales. D'après les analystes, l'avènement de ce type de véhicules autonomes devrait prendre encore quelques années.
Nous nous attendons à ce que l'arrivée sur le marché des véhicules s'effectue très lentement en raison de multiples considérations technologiques et morales/juridiques/réglementaires. D'ici 2025, nous prévoyons que les ventes de véhicules entièrement autonomes -de type L5- se compteraient à environ 100 000 unités, la grande majorité hors États-Unis.Pour eux, ce serait vraiment en 2030 que les ventes commenceraient, avant d'atteindre un rythme plus soutenu dix, voire vingt ans plus tard...
Enfin, Morgan Stanley soutient un raisonnement assez original.
Nous pensons qu'une voiture sans volant ni pédales doit être un "service" et non une "voiture détenue par un particulier". Les consommateurs n'auraient donc pas d'intérêt (ou, peut-être, les moyens financiers nécessaires dans un premier temps) à posséder un tel véhicule. Ils pourraient en revanche l'utiliser via un abonnement ou un service de transport -premium là encore.