Deux influenceuses se noient après avoir refusé des gilets de sauvetage pour réussir leurs selfies
Par Vincent Lautier - Publié le
Une journée en bateau a mal tourné pour deux influenceuses brésiliennes, qui ont décliné les gilets de sauvetage pour ne pas gâcher leurs selfies ni leur bronzage, avant que leur bateau ne chavire. Encore un exemple de manque de prudence chez des créatrices de contenu.
Aline Tamara Moreira de Amorim, 37 ans, et Beatriz Tavares da Silva Faria, 27 ans, deux influenceuses brésiliennes, ont vu leur sortie en mer virer au drame. De retour d’une fête sur un yacht au large de São Paulo, elles ont embarqué sur un petit bateau pour rentrer, traversant la célèbre (et redoutable)
Le capitaine de l’embarcation n’a pas manqué de les prévenir – et a même insisté plusieurs fois : le bateau était surchargé, et l’endroit n’est pas un lagon tranquille. Mais Aline et Beatriz ont jugé que les gilets de sauvetage casseraient un peu l’ambiance festive et les empêcheraient de bronzer correctement sous le soleil brésilien. Le choix était clair : mieux valait risquer la noyade que de passer pour des touristes précautionneuses.
Une grosse vague a frappé le bateau, le retournant en une fraction de seconde. Tous les passagers ont été précipités dans l’eau, mais tout le monde n’a pas eu la même chance. Vanessa Audrey da Silva, une autre passagère, un peu moins préoccupée par son bronzage, portait un gilet de sauvetage et a pu s’accrocher à un rocher jusqu’à l’arrivée des secours. Pour Aline et Beatriz, sans gilets, le destin fut bien moins clément. Les secours ont retrouvé le corps de Beatriz en mer, tandis que celui d’Aline a été découvert sur la plage d’Itaquitanduva une semaine plus tard.
Cet incident tragique aurait-il pu être évité ? Peut-être bien. La police brésilienne a ouvert une enquête pour déterminer si cette sortie mouvementée relève de l’imprudence des victimes ou s’il y a aussi un manque de précautions de la part de l’organisation. La tragédie pose une question simple : jusqu’où peut-on aller pour ne pas sacrifier son bronzage (et ses likes) sur l’autel de la sécurité ? Quelque chose me dit que les commentaires ne seront pas très indulgents.
Une décision esthétique… fatale
Aline Tamara Moreira de Amorim, 37 ans, et Beatriz Tavares da Silva Faria, 27 ans, deux influenceuses brésiliennes, ont vu leur sortie en mer virer au drame. De retour d’une fête sur un yacht au large de São Paulo, elles ont embarqué sur un petit bateau pour rentrer, traversant la célèbre (et redoutable)
Gorge du Diable, connue pour ses eaux tumultueuses. Et ce, sans les gilets de sauvetage recommandés par le capitaine. La raison ? Les deux amies ont préféré préserver leur bronzage pour quelques selfies soignés, quitte à sacrifier leur sécurité.
Le selfie ou la sécurité : elles ont choisi
Le capitaine de l’embarcation n’a pas manqué de les prévenir – et a même insisté plusieurs fois : le bateau était surchargé, et l’endroit n’est pas un lagon tranquille. Mais Aline et Beatriz ont jugé que les gilets de sauvetage casseraient un peu l’ambiance festive et les empêcheraient de bronzer correctement sous le soleil brésilien. Le choix était clair : mieux valait risquer la noyade que de passer pour des touristes précautionneuses.
Les avertissements du capitaine se sont vite révélés fondés
Une grosse vague a frappé le bateau, le retournant en une fraction de seconde. Tous les passagers ont été précipités dans l’eau, mais tout le monde n’a pas eu la même chance. Vanessa Audrey da Silva, une autre passagère, un peu moins préoccupée par son bronzage, portait un gilet de sauvetage et a pu s’accrocher à un rocher jusqu’à l’arrivée des secours. Pour Aline et Beatriz, sans gilets, le destin fut bien moins clément. Les secours ont retrouvé le corps de Beatriz en mer, tandis que celui d’Aline a été découvert sur la plage d’Itaquitanduva une semaine plus tard.
L’enquête cherche les responsables
Cet incident tragique aurait-il pu être évité ? Peut-être bien. La police brésilienne a ouvert une enquête pour déterminer si cette sortie mouvementée relève de l’imprudence des victimes ou s’il y a aussi un manque de précautions de la part de l’organisation. La tragédie pose une question simple : jusqu’où peut-on aller pour ne pas sacrifier son bronzage (et ses likes) sur l’autel de la sécurité ? Quelque chose me dit que les commentaires ne seront pas très indulgents.