Lobbying : 35 millions de dollars dépensés pour Apple, Amazon, Meta et Google
Par Laurence - Mis à jour le
Chaque année, les dépenses en lobbying des entreprises techs augmentent. Ainsi, Cupertino, Amazon, Meta et Google ont dépensé 35,3 millions de dollars jusqu'à présent depuis le 1er janvier.
Il faut dire que les quatre entreprises tentent de lutter contre les mesures antitrust, les enquêtes et les projets de lois en cours visant à diminuer leur domination sur le marché. Au deuxième trimestre de l'année, elles ont dépensé plus que les grandes entreprises pharmaceutiques.
Même si Apple figure toujours en bas de tableau, celle-ci commence à suivre la tendance. Elle a en effet dépensé 1,9 million de dollars au dernier trimestre, soit une diminution par rapport à ses dépenses record de 2,5 millions de dollars au cours des trois premiers mois de l'année. Il faut dire qu’elle est confrontée à des investigations de plus en plus poussées sur ses produits (droit à la réparation notamment) et services (App Store, Apple Music, Apple Pay…). Surtout qu’elle se défend de tout abus de position dominante ou situation monopolistique et qu’il faut bien convaincre les législateurs, les médias. Ou les utilisateurs… sans parler de la médiatisation de certains procès (celui d’Epic Games en tête).
Il faut dire que les quatre entreprises tentent de lutter contre les mesures antitrust, les enquêtes et les projets de lois en cours visant à diminuer leur domination sur le marché. Au deuxième trimestre de l'année, elles ont dépensé plus que les grandes entreprises pharmaceutiques.
Même si Apple figure toujours en bas de tableau, celle-ci commence à suivre la tendance. Elle a en effet dépensé 1,9 million de dollars au dernier trimestre, soit une diminution par rapport à ses dépenses record de 2,5 millions de dollars au cours des trois premiers mois de l'année. Il faut dire qu’elle est confrontée à des investigations de plus en plus poussées sur ses produits (droit à la réparation notamment) et services (App Store, Apple Music, Apple Pay…). Surtout qu’elle se défend de tout abus de position dominante ou situation monopolistique et qu’il faut bien convaincre les législateurs, les médias. Ou les utilisateurs… sans parler de la médiatisation de certains procès (celui d’Epic Games en tête).