Les adultes apprécient les traqueurs, mais laissent les smartwatches aux plus jeunes
Par Arthur de la Brosse - Publié le
Les montres connectées et traqueurs d'activité en tous genres pullulent au CES cette année, et devraient continuer de progresser de manière exponentielle cette année, notamment grâce à la sortie de l'Apple Watch. Malgré de nombreuses similitudes, il semblerait toutefois que ces produits s'adressent à des publics assez différents, comme en témoigne une récente étude américaine.
L'institut NPD, après avoir interrogé 5 000 personnes âgées d'au moins 18 ans, a en effet révélé qu'un adulte sur 10 possédait désormais un traqueur d'activité, tandis que les smartwatches n'ont pour le moment convaincu que 2% des consommateurs. D'après cette étude, les possesseurs de bracelet connecté et autres capteurs de surveillance de santé ont surtout la cote auprès des personnes plus mûres et financièrement aisées, tandis que les montres connectées sont principalement achetées par les plus jeunes.
Dans le détail, 36% des possesseurs de traqueurs d'activité (interrogés par NPD) tels que le UP24 de Jawbone ou le Shine de Misfit sont âgés de 35 à 54 ans, et sont en majorité représentés par la gent féminine (54%).
De l'autre côté, les montres connectées sont surtout portées par des personnes de 18 à 34 ans, et ont cette fois surtout les faveurs des messieurs (71%).
Chez les propriétaires de traqueurs d'activité, 41% des sondés affirment gagner plus de 100 000 $ par an, alors que 48% des porteurs de smarwatches touchent moins de 45 000 $ annuels.
Wes Henderek, qui dirige le cabinet NPD, explique qu'
Il faut dire que les deux catégories de produits, bien qu'ayant de nombreuses fonctions communes, ont chacune leurs propres atouts. La plupart des bracelets et traqueurs simples sont en effet beaucoup plus compacts et discrets, et offrent en général une meilleure autonomie, alors que les montres souvent sont généralement dotées d'un éventail de fonctions bien plus large.
Source (Via)
L'institut NPD, après avoir interrogé 5 000 personnes âgées d'au moins 18 ans, a en effet révélé qu'un adulte sur 10 possédait désormais un traqueur d'activité, tandis que les smartwatches n'ont pour le moment convaincu que 2% des consommateurs. D'après cette étude, les possesseurs de bracelet connecté et autres capteurs de surveillance de santé ont surtout la cote auprès des personnes plus mûres et financièrement aisées, tandis que les montres connectées sont principalement achetées par les plus jeunes.
Dans le détail, 36% des possesseurs de traqueurs d'activité (interrogés par NPD) tels que le UP24 de Jawbone ou le Shine de Misfit sont âgés de 35 à 54 ans, et sont en majorité représentés par la gent féminine (54%).
De l'autre côté, les montres connectées sont surtout portées par des personnes de 18 à 34 ans, et ont cette fois surtout les faveurs des messieurs (71%).
Chez les propriétaires de traqueurs d'activité, 41% des sondés affirment gagner plus de 100 000 $ par an, alors que 48% des porteurs de smarwatches touchent moins de 45 000 $ annuels.
Wes Henderek, qui dirige le cabinet NPD, explique qu'
il n'existe pas de client-type pour le marché de l'informatique vestimentaire, [et que] les cibles des fabricants de traqueurs d'activité et de smartwatches sont fondamentalement différentes.
Il faut dire que les deux catégories de produits, bien qu'ayant de nombreuses fonctions communes, ont chacune leurs propres atouts. La plupart des bracelets et traqueurs simples sont en effet beaucoup plus compacts et discrets, et offrent en général une meilleure autonomie, alors que les montres souvent sont généralement dotées d'un éventail de fonctions bien plus large.
Source (Via)