Une application mesurerait la pression artérielle via l'iPhone (sur une simple vidéo)
Par Laurence - Mis à jour le
Si cette année les nouveautés n'ont pas été aussi nombreuses que les rumeurs le prétendaient, la prochaine Apple Watch devrait -enfin- présenter des capteurs inédits, notamment pour mesurer le taux de glycémie. En attendant, d'autres firmes se montrent des plus innovantes pour développer des outils de santé permettant de s'affranchir des techniques traditionnelles.
Cette semaine, la plate-forme de santé Binah.ai a annoncé avoir ajouté la surveillance de la pression artérielle sur son application. Celle-ci serait en mesure de calculer cette information en utilisant uniquement une vidéo du visage, et ce, via un smartphone ou un ordinateur.
Selon son CEO, l'application veut
De nombreux experts semblent très intéressés par cette technique, ils demandent davantage de données de la part de l'entreprise israélienne. Cette dernière précise avoir mené des études internes sur 264 personnes qui n'ont pas été publiées. La situation pourrait changer dans les prochaines semaines, avec une nouvelle étude, cette fois menée par la FDA (US Food and Drug Administration), qui pourrait s'orienter vers un déploiement de cette technologie.
Cette semaine, la plate-forme de santé Binah.ai a annoncé avoir ajouté la surveillance de la pression artérielle sur son application. Celle-ci serait en mesure de calculer cette information en utilisant uniquement une vidéo du visage, et ce, via un smartphone ou un ordinateur.
Selon son CEO, l'application veut
se passer de brassard-une solution peu pratique pour une utilisation quotidienne à domicile, pour certaines personnes ou pathologies. Elle analyse la lumière réfléchie sur le visage pour calculer les changements dans le flux sanguin, selon la technique de photopléthysmographie (PPG). Si cette dernière permet également de mesurer les niveaux d'oxygène dans le sang ou la fréquence cardiaque, sa transposition pour la pression artérielle serait plus difficile et ne serait pas totalement opérationnelle.
De nombreux experts semblent très intéressés par cette technique, ils demandent davantage de données de la part de l'entreprise israélienne. Cette dernière précise avoir mené des études internes sur 264 personnes qui n'ont pas été publiées. La situation pourrait changer dans les prochaines semaines, avec une nouvelle étude, cette fois menée par la FDA (US Food and Drug Administration), qui pourrait s'orienter vers un déploiement de cette technologie.