L’ECG de l’Apple Watch Series 4 serait trop médiatisée pour certains cardiologues
Par Laurence - Publié le
Ces derniers temps, la fonction ECG de l’Apple Watch n’en finit pas de défrayer les chroniques, avec la multiplication des cas de sauvetage. Pour autant, certains cardiologues pensent que cet engouement serait surtout médiatique et ne justifierait pas une mise à niveau vers la Series 4.
Ces derniers pensent en effet que le pourcentage de propriétaires d'Apple Watch étant exposé à une fibrillation auriculaire reste relativement faible. Le risque serait trop minime pour justifier l’achat (mais cela ne voudrait pas dire que la Series 4 ne sert à rien mais qu’elle serait limitée).
Selon une étude des ventes réalisée par NPD Group, les utilisateurs âgés de 18 à 34 ans achèteraient des smartwatches plus que n’importe quel autre groupe d’âge. En 2019, la tranche 25 à 34 ans resterait la plus encline à acheter un wearable.
En recoupant l’ensemble des statistiques et autres données, le groupe de cardiologues en question (CDC) estime que la pathologie (AFib) affecte entre 2,7 et 6,1 millions d'Américains, mais que la majorité de ces personnes ont plus de 65 ans. A force de pourcentages, seule une part minime serait susceptible d’une maladie devant être soignée. De plus, la Series 4 ne concerne qu’une seule maladie cardiaque...
En outre, d’après le docteur Venkatesh Murthy, professeur de cardiologie préventive à l'Université du Michigan, 90% des alertes chez les groupes plus jeunes seraient de fausses alertes... Aussi, les experts craignent surtout que le port de bracelets de surveillance chez des millions de personnes jeunes et en bonne santé n’augmente le risque de surtraitement.
Source
Ces derniers pensent en effet que le pourcentage de propriétaires d'Apple Watch étant exposé à une fibrillation auriculaire reste relativement faible. Le risque serait trop minime pour justifier l’achat (mais cela ne voudrait pas dire que la Series 4 ne sert à rien mais qu’elle serait limitée).
Selon une étude des ventes réalisée par NPD Group, les utilisateurs âgés de 18 à 34 ans achèteraient des smartwatches plus que n’importe quel autre groupe d’âge. En 2019, la tranche 25 à 34 ans resterait la plus encline à acheter un wearable.
En recoupant l’ensemble des statistiques et autres données, le groupe de cardiologues en question (CDC) estime que la pathologie (AFib) affecte entre 2,7 et 6,1 millions d'Américains, mais que la majorité de ces personnes ont plus de 65 ans. A force de pourcentages, seule une part minime serait susceptible d’une maladie devant être soignée. De plus, la Series 4 ne concerne qu’une seule maladie cardiaque...
En outre, d’après le docteur Venkatesh Murthy, professeur de cardiologie préventive à l'Université du Michigan, 90% des alertes chez les groupes plus jeunes seraient de fausses alertes... Aussi, les experts craignent surtout que le port de bracelets de surveillance chez des millions de personnes jeunes et en bonne santé n’augmente le risque de surtraitement.
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