Apple donne 1000 Apple Watch pour une étude inédite sur les troubles alimentaires
Par Laurence - Publié le
Après la détection et le suivi des troubles cardiaques, l’Apple Watch se dirige vers un autre domaine de la santé, celui des troubles de l’alimentation. Cupertino vient en effet de donner mille montres (sans précision sur les modèles concernés) pour mener une étude menée par l'Université de Caroline du Nord, s’intitule Binge Eating Genetics INitiative, ou BEGIN.
Il s’agirait ici d’établir le lien entre d’éventuelles pathologies -comme l’anorexie ou la boulimie- et d’éventuelles changements biologiques. Pendant un mois, les chercheurs examineront si le capteur de fréquence cardiaque la tocante couplée à une app compagnon (Recovery Record) peuvent détecter les changements physiques associés à certains symptômes. Selon Cynthia Bulik, l’un des chercheurs à l'origine du projet, il s’agit de
Il s’agit d’un enjeu de taille pour les États-Unis où, selon l'Association nationale de l'anorexie mentale et des troubles associés (National Association of Anorexia Nervosa and Associated Disorders), au moins 30 millions de personnes souffriraient d'un trouble de l'alimentation. A tel point, qu’une personne en décèderait directement toutes les 62 minutes.
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Il s’agirait ici d’établir le lien entre d’éventuelles pathologies -comme l’anorexie ou la boulimie- et d’éventuelles changements biologiques. Pendant un mois, les chercheurs examineront si le capteur de fréquence cardiaque la tocante couplée à une app compagnon (Recovery Record) peuvent détecter les changements physiques associés à certains symptômes. Selon Cynthia Bulik, l’un des chercheurs à l'origine du projet, il s’agit de
savoir s'ils possèdent une signature biologique et comportementale.
Il s’agit d’un enjeu de taille pour les États-Unis où, selon l'Association nationale de l'anorexie mentale et des troubles associés (National Association of Anorexia Nervosa and Associated Disorders), au moins 30 millions de personnes souffriraient d'un trouble de l'alimentation. A tel point, qu’une personne en décèderait directement toutes les 62 minutes.
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