Dans les piratages du jour, un individu revendique avoir eu accès à un certain nombre de systèmes internes d’Uber (y compris ses canaux Slack),
et détenir le contrôle total des serveurs cloud. Ce qui inclurait les serveurs de l'entreprise sur Amazon Web Services et GSuite de Google. Aussi incroyable que cela puisse paraître, l'attaque aurait imité celle de 2016, ce qui a compromis les données personnelles de 57 millions d'utilisateurs,
suggérant qu'Uber n'aurait pas corrigé cette faille de sécurité. De son côté, la firme a confirmé l’existence de l'attaque sans en préciser la portée. Elle a indiqué qu’une enquête était en cours et a de plus mis hors ligne plusieurs de ses systèmes internes afin d'éviter plus de dégâts.