Le portable de l’avocat de Donald Trump piraté par la Chine juste avant l’élection
Par Vincent Lautier - Publié le
Le téléphone de Todd Blanche, avocat principal de Donald Trump, a été piraté par des cyberespions chinois, selon plusieurs sources. Cette infiltration, qui s’inscrit dans une vaste opération d’espionnage visant des figures politiques américaines, soulève forcément des inquiétudes sur la sécurité nationale, surtout depuis que Trump a remporté l’élection.
Selon les sources de la presse américaine, des cyberespions chinois ont donc réussi à pirater le téléphone de Todd Blanche, avocat principal de Donald Trump, juste avant l’élection présidentielle de 2024. En accédant à ses appels et messages texte, ces hackers auraient capturé des informations sensibles sur Blanche et potentiellement sur son entourage. Blanche défend Trump dans plusieurs affaires pénales, en particulier dans l’affaire des paiements dissimulés pour influence électorale et dans des accusations fédérales concernant la gestion de documents confidentiels. Une enquête du FBI est en cours pour tenter de déterminer le niveau de gravité de ce piratage.
L’incident concernant Todd Blanche n’est qu’un exemple d’une série d’infiltrations attribuées aux services de renseignement chinois. Les réseaux télécoms américains, notamment AT&T, Lumen et Verizon, ont été infiltrés, permettant aux pirates d’accéder aux données de téléphones portables utilisés par de nombreuses personnalités politiques de premier plan, aussi bien du camp républicain que démocrate. Le FBI et l’Agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures ont récemment alerté les victimes de cette campagne et mis en place des mesures de sécurité renforcées, en collaboration avec le secteur des télécommunications, pour minimiser les risques de futures intrusions.
Le piratage du téléphone de Blanche et d’autres cibles de haut niveau, comme JD Vance, le vice-président élu, et des membres de la campagne de la vice-présidente Kamala Harris, inquiète les responsables de la sécurité nationale. Bien que l’accès à certaines applications sécurisées semble avoir été préservé, cette intrusion montre une fois de plus la sophistication des moyens chinois et leur capacité à pénétrer des systèmes critiques. Les services de renseignement américains considèrent cette opération comme une menace majeure et continuent d’évaluer les impacts possibles de cette collecte d’informations sensibles.
Face à cette attaque, les États-Unis cherchent à renforcer leur cybersécurité et à coordonner leurs réponses pour contrer de futures attaques. En parallèle, les relations sino-américaines, déjà complexes, pourraient se tendre davantage sous la présidence de Donald Trump, réélu pour un second mandat. Des discussions avec Pékin seront inévitables, d’autant plus que les tensions sont déjà vives sur les questions de sécurité et de commerce. Les États-Unis en ont profité pour rappeler que les attaques contre des infrastructures sensibles ne seront pas tolérées, ce dont personne ne doutait.
Les hackers chinois ciblent un proche collaborateur de Trump
Selon les sources de la presse américaine, des cyberespions chinois ont donc réussi à pirater le téléphone de Todd Blanche, avocat principal de Donald Trump, juste avant l’élection présidentielle de 2024. En accédant à ses appels et messages texte, ces hackers auraient capturé des informations sensibles sur Blanche et potentiellement sur son entourage. Blanche défend Trump dans plusieurs affaires pénales, en particulier dans l’affaire des paiements dissimulés pour influence électorale et dans des accusations fédérales concernant la gestion de documents confidentiels. Une enquête du FBI est en cours pour tenter de déterminer le niveau de gravité de ce piratage.
L’incident concernant Todd Blanche n’est qu’un exemple d’une série d’infiltrations attribuées aux services de renseignement chinois. Les réseaux télécoms américains, notamment AT&T, Lumen et Verizon, ont été infiltrés, permettant aux pirates d’accéder aux données de téléphones portables utilisés par de nombreuses personnalités politiques de premier plan, aussi bien du camp républicain que démocrate. Le FBI et l’Agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures ont récemment alerté les victimes de cette campagne et mis en place des mesures de sécurité renforcées, en collaboration avec le secteur des télécommunications, pour minimiser les risques de futures intrusions.
Des implications pour la sécurité nationale
Le piratage du téléphone de Blanche et d’autres cibles de haut niveau, comme JD Vance, le vice-président élu, et des membres de la campagne de la vice-présidente Kamala Harris, inquiète les responsables de la sécurité nationale. Bien que l’accès à certaines applications sécurisées semble avoir été préservé, cette intrusion montre une fois de plus la sophistication des moyens chinois et leur capacité à pénétrer des systèmes critiques. Les services de renseignement américains considèrent cette opération comme une menace majeure et continuent d’évaluer les impacts possibles de cette collecte d’informations sensibles.
Face à cette attaque, les États-Unis cherchent à renforcer leur cybersécurité et à coordonner leurs réponses pour contrer de futures attaques. En parallèle, les relations sino-américaines, déjà complexes, pourraient se tendre davantage sous la présidence de Donald Trump, réélu pour un second mandat. Des discussions avec Pékin seront inévitables, d’autant plus que les tensions sont déjà vives sur les questions de sécurité et de commerce. Les États-Unis en ont profité pour rappeler que les attaques contre des infrastructures sensibles ne seront pas tolérées, ce dont personne ne doutait.