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A quelle fréquence changez-vous d'iPhone ?

Par Laurence - Mis à jour le

Depuis l’iPhone X, les analystes publient régulièrement une étude sur le cycle de l’appareil, à savoir la fréquence moyenne de renouvellement par les clients d’Apple.

A quelle fréquence changez-vous d'iPhone ?


Un iPhone tous les 3 ans en moyenne



Le Consumer Intelligence Research Partners -célèbre association américaine des consommateurs- dévoile les dernières tendances d'achat, en tenant compte de certains facteurs, à commencer par le covid. Pendant une courte période [ndlr : la pandémie], les acheteurs d'iPhone avaient soudainement commencé à changer leurs téléphones beaucoup plus tôt qu'auparavant. La tendance qui consistait à garder les téléphones plus longtemps semblait s'être inversée.

Selon cette récente étude, la durée entre deux achats d’iPhone pour un même utilisateur tend à s'allonger et à revenir à des temps observés avant 2020. Ainsi, en mars 2019, 26 % des propriétaires interrogés auraient conservé leur iPhone pendant trois ans ou plus. Ce comportement était constant depuis 2015. Cette période aurait été marquée par des offres commerciales assez agressives avec des contrats subventionnés sur 2 ans.

A quelle fréquence changez-vous d'iPhone ?


Une frénésie d'achat pendant la pandémie



En mars 2021, 34 % des sondés auraient remplacé leur iPhone, alors que celui-ci était âgé d'au moins trois ans. Mais à partir de là, et jusqu’en mars 2022, seulement 20 % des nouveaux acheteurs auraient possédé un appareil depuis plus de trois ans ou plus, alors que 38 % auraient changé leur iPhone vieux de deux ans ou moins.

Enfin, en mars dernier, la tendance s'est à nouveau inversée et le taux de renouvellement est reparti à la hausse, 31 % déclarant avoir un iPhone depuis au moins trois ans.

Ces dernières données sont similaires à celles observées en mars 2020, soit au début de la pandémie. Pour expliquer ces chiffres, il semble que les utilisateurs aient profité du confinement pour mettre à niveau leurs appareils ou bien qu'ils aient été obligés de le faire pour travailler depuis leur domicile. Sans parler des opérations de reprises proposées par de nombreux opérateurs.