Zone blanches (et en montagne) : les opérateurs français mutualisent bien leur réseau
Par Didier Pulicani - Publié le
Ce qu'on appelle les zones blanches ou
Pour les opérateur, couvrir ces endroits peu fréquentés nécessite de multiplier les antennes et sont difficiles à rentabiliser. D'où l'idée de mutualiser certaines zones et de partager leur réseau. La Fédération française des télécoms a donc réuni Bouygues, Orange et SFR, ainsi que l’Association nationale des élus de montagne (ANEM) cette semaine en compagnie de nombreux élus de zones montagneuses, pour faire un point de la situation, qui évolue dans le bon sens.
Au 31 décembre 2016, 2624 communes sur 3582 inscrites au programme
L'investissement total est estimé autour de 2,3 milliards d’euros.
zone sans réseausont encore courantes en France, qui compte un territoire vaste et très vallonné.
Pour les opérateur, couvrir ces endroits peu fréquentés nécessite de multiplier les antennes et sont difficiles à rentabiliser. D'où l'idée de mutualiser certaines zones et de partager leur réseau. La Fédération française des télécoms a donc réuni Bouygues, Orange et SFR, ainsi que l’Association nationale des élus de montagne (ANEM) cette semaine en compagnie de nombreux élus de zones montagneuses, pour faire un point de la situation, qui évolue dans le bon sens.
Au 31 décembre 2016, 2624 communes sur 3582 inscrites au programme
zones blanchesont été couvertes par au moins un des trois opérateurs partenaires. Parmi elles, se trouvent 848 communes de moyenne montagne. La progression a été forte en un an, avec près de 1064 nouvelles communes en 2016, dont la moitié en zone montagneuse. Un millier de communes supplémentaires devraient être raccordées d'ici l'été !
L'investissement total est estimé autour de 2,3 milliards d’euros.