Phil Schiller revient sur le succès de l'iPhone et dénigre les assistants vocaux
Par Arthur de la Brosse - Publié le
À l'occasion du dixième anniversaire de l'iPhone, Phil Schiller a accordé à Steven Levy un bref entretien retranscrit sur son blog Backchannel, dans lequel il livre quelques anecdotes sur le développement du smartphone d'Apple, tout en rappelant la supériorité de Siri et de l'iPhone sur les assistants limités aux interactions vocales, comme Alexa.
Ce dernier, qui vit au sein de chaque borne Echo d'Amazon, manquerait cruellement d'un écran pour rivaliser avec ses concurrents. D'après Phil Schiller, l'écran reste en effet indispensable pour de nombreuses tâches essentielles, notamment pour afficher ses photos personnelles. Pour le vice-président de Cupertino, le meilleur assistant est par ailleurs sans aucun doute possible celui que l'on garde en permanence avec soi, dans son smartphone, sa montre ou son ordinateur, et certainement pas
L'entretien est bien entendu l'occasion de faire le point sur les dix années écoulées depuis le lancement du premier iPhone, à grand renfort d'anecdotes sur le développement des premières itérations de l'appareil. Si Phil Schiller reconnait que les huiles d'Apple s'attendaient à des ventes importantes, il avoue volontiers que personne au sein de la firme californienne ne pouvait s'attendre à un succès aussi retentissant, avec plus d'un milliard d'unités écoulées en moins de dix ans.
Le vice-président d'Apple rappelle également que l'iPhone premier du nom n'acceptait aucune application tierce et était ainsi dépourvu d'App Store. Si ce sujet faisait débat à Cupertino, le temps avait finalement joué en faveur d'un système fermé -à l'image de l'iPod- qui n'a finalement ouvert ses portes aux développeurs que plusieurs mois après sa commercialisation.
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Ce dernier, qui vit au sein de chaque borne Echo d'Amazon, manquerait cruellement d'un écran pour rivaliser avec ses concurrents. D'après Phil Schiller, l'écran reste en effet indispensable pour de nombreuses tâches essentielles, notamment pour afficher ses photos personnelles. Pour le vice-président de Cupertino, le meilleur assistant est par ailleurs sans aucun doute possible celui que l'on garde en permanence avec soi, dans son smartphone, sa montre ou son ordinateur, et certainement pas
celui qui reste bloqué dans la cuisine ou sur le mur.
L'entretien est bien entendu l'occasion de faire le point sur les dix années écoulées depuis le lancement du premier iPhone, à grand renfort d'anecdotes sur le développement des premières itérations de l'appareil. Si Phil Schiller reconnait que les huiles d'Apple s'attendaient à des ventes importantes, il avoue volontiers que personne au sein de la firme californienne ne pouvait s'attendre à un succès aussi retentissant, avec plus d'un milliard d'unités écoulées en moins de dix ans.
Le vice-président d'Apple rappelle également que l'iPhone premier du nom n'acceptait aucune application tierce et était ainsi dépourvu d'App Store. Si ce sujet faisait débat à Cupertino, le temps avait finalement joué en faveur d'un système fermé -à l'image de l'iPod- qui n'a finalement ouvert ses portes aux développeurs que plusieurs mois après sa commercialisation.
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