Peta défend les pokémons maltraités de Palworld (et veut un mode vegan)
Par Laurence - Publié le
Depuis le 19 janvier 2024, Palworld est devenu un véritable carton. Le principe est simple : c'est un peu comme un jeu de Pokémons mais avec des armes.
Forcément, ce pitch rime avec de la vraie violence, des blessures, de la torture et des morts ! En quelques jours, le titres s’est vendu à 7 millions d’exemplaires sur Steam alors qu'il ne s'agit que d'une version anticipée du jeu. Il devrait donc encore évoluer au cours des prochains moins.
Il faut dire que le studio a un peu été pris de cours devant l'accueil ! Sur Steamcharts, un pic a même été enregistré à plus de 1,85 million de personnes connectées en même temps.
Forcément, le jeu est critiqué pour ses similitudes plus que certaines avec Pokémon ou encore l’utilisation de l’IA durant son développement. Mais à cela, s'ajoute un autre problème, que les éditeurs n'avaient sans doute pas vu venir. En effet, Peta -People for the Ethical Treatment of Animals- lui reproche de faire l'éloge de la cruauté animale.
En effet, dans le titre, les joueurs doivent créer des camps pour survivre, ils y font travailler les animaux capturés. Dans une espèce de cycle fermé, l'exploitation de ce site implique de nourrir son personnage et ses pals. Jusque là rien d'anormal.
Sauf qu'il est possible de tuer des animaux afin de les manger (on peut les cuisiner aussi). De son côté, Peta n'approuve pas la logique du jeu et préférerait que soit introduit un moyen alternatif d'alimentation végane, et ce, de laisser en vie les bestioles numériques ...
Interrogée, la vice-présidente des programmes, Elisa Allen, a déclaré avoir entendu
On n'a plus qu'à attendre une action de The Pokémon Company (Nintendo, Game Freak et Creatures). En effet, au vu du design, la firme a enfin réagi il y a quelques heures en précisant :
Cette dernière a ajouté avoir reçu
Pokémons with guns : un franc succès
Forcément, ce pitch rime avec de la vraie violence, des blessures, de la torture et des morts ! En quelques jours, le titres s’est vendu à 7 millions d’exemplaires sur Steam alors qu'il ne s'agit que d'une version anticipée du jeu. Il devrait donc encore évoluer au cours des prochains moins.
Il faut dire que le studio a un peu été pris de cours devant l'accueil ! Sur Steamcharts, un pic a même été enregistré à plus de 1,85 million de personnes connectées en même temps.
Mais une polémique en devenir !
Forcément, le jeu est critiqué pour ses similitudes plus que certaines avec Pokémon ou encore l’utilisation de l’IA durant son développement. Mais à cela, s'ajoute un autre problème, que les éditeurs n'avaient sans doute pas vu venir. En effet, Peta -People for the Ethical Treatment of Animals- lui reproche de faire l'éloge de la cruauté animale.
En effet, dans le titre, les joueurs doivent créer des camps pour survivre, ils y font travailler les animaux capturés. Dans une espèce de cycle fermé, l'exploitation de ce site implique de nourrir son personnage et ses pals. Jusque là rien d'anormal.
Sauf qu'il est possible de tuer des animaux afin de les manger (on peut les cuisiner aussi). De son côté, Peta n'approuve pas la logique du jeu et préférerait que soit introduit un moyen alternatif d'alimentation végane, et ce, de laisser en vie les bestioles numériques ...
Interrogée, la vice-présidente des programmes, Elisa Allen, a déclaré avoir entendu
de nombreux fans de Palworld qui n’ont aucun intérêt à manger des Pals et qui veulent qu’un guide vegan soit créé pour le jeu. Après tout, c’est le "Veganuary" et les joueurs veulent aider les animaux en mangeant végan dans leurs univers de jeu et à l’extérieur.
On n'a plus qu'à attendre une action de The Pokémon Company (Nintendo, Game Freak et Creatures). En effet, au vu du design, la firme a enfin réagi il y a quelques heures en précisant :
Nous n’avons accordé aucune autorisation pour l’utilisation de propriété intellectuelle ou des actifs de Pokémon dans ce jeu...
Cette dernière a ajouté avoir reçu
de nombreuses demandes concernant le jeu d'une autre société sortie en janvier 2024, avant de préciser
avoir l'intention d'enquêter et de prendre des mesures appropriées pour remédier à tout acte portant atteinte aux droits de propriété intellectuels.