Les drones se retrouvent régulièrement au coeur des polémiques, souvent en raison du survol de zones interdites. En France, un de ces appareils volants avait par exemple fait un bref passage
au-dessus du palais de l'Élysée il y a une dizaine de jours, et cette semaine c'était un modèle
phantom de
DJI qui s'introduisait
dans le périmètre de sécurité de la Maison Blanche, avant de se crasher dans les jardins présidentiels. À la frontière séparant les États-Unis du Mexique, certains dealers profiterait même de la discrétion de ces petits aéronefs pour y embarquer des sachets de drogue et passer d'un pays à l'autre en évitant les barrages de sécurité. Pour lutter contre ces nouvelles techniques et éviter que des drones puissent voler près des zones à risques, le constructeur
DJI a annoncé qu'il proposerait prochainement
une mise à jour du logiciel interne de ses appareils leur imposant des limites en fonction des zones géographiques. D'ici quelques jours, les modèles concernés devraient ainsi être
dans l'incapacité de voler au-dessus du centre ville de Washington, ainsi que dans un rayon de 25 km au-delà de ce périmètre. De nouvelles
zones de non-vol
pourraient prochainement être ajoutées, notamment pour
protéger les abords des aéroports internationaux. [
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