Soupçons d'espionnage : Apple dans le collimateur du gouvernement Chinois
Par Laura Tibourcio de la Corre - Publié le
Après la Russie, c'est au tour de la Chine d'émettre des doutes sur la fiabilité des produits d'Apple en interdisant aussi bien l'iPad que MacBook Pro.
Après Symantec, Kaspersky et Microsoft, c'est au tour d'Apple de subir le courroux du gouvernement chinois. Suite aux révélations d'Edward Snowden concernant le programme de surveillance de la NSA, l'Empire du Milieu a décidé de renforcer sa sécurité informatique et donc d'écarter toutes les marques susceptibles de fournir des informations au gouvernement américain. De quoi irriter Washington.
Sont donc désormais exclus des listes de course des officiels chinois 10 produits pommés dont l'iPad, l'iPad Mini, le MacBook Air ou encore le MacBook Pro. Si cette restriction ne s'applique qu'aux départements centraux du parti communiste, aux ministères et aux gouvernements locaux, elle risque d'avoir une influence sur les choix d'équipement des organismes semi-gouvernementaux et des grandes entreprises. De quoi limiter l'influence d'acteurs étrangers dans le pays, et mettre des bâtons dans les roues d'Apple, qui compte sur les marchés émergents pour doper sa croissance. Hewlett-Packard et Dell devraient être les prochaines entreprises à faire l'objet de restrictions.
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Après Symantec, Kaspersky et Microsoft, c'est au tour d'Apple de subir le courroux du gouvernement chinois. Suite aux révélations d'Edward Snowden concernant le programme de surveillance de la NSA, l'Empire du Milieu a décidé de renforcer sa sécurité informatique et donc d'écarter toutes les marques susceptibles de fournir des informations au gouvernement américain. De quoi irriter Washington.
Sont donc désormais exclus des listes de course des officiels chinois 10 produits pommés dont l'iPad, l'iPad Mini, le MacBook Air ou encore le MacBook Pro. Si cette restriction ne s'applique qu'aux départements centraux du parti communiste, aux ministères et aux gouvernements locaux, elle risque d'avoir une influence sur les choix d'équipement des organismes semi-gouvernementaux et des grandes entreprises. De quoi limiter l'influence d'acteurs étrangers dans le pays, et mettre des bâtons dans les roues d'Apple, qui compte sur les marchés émergents pour doper sa croissance. Hewlett-Packard et Dell devraient être les prochaines entreprises à faire l'objet de restrictions.
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