Quand Facebook répond à ceux qui prédisent sa mort imminente
Par Laura Tibourcio de la Corre - Publié le
Des analystes de Facebook ont produit une petite étude, en se basant sur les méthodes utilisées par des chercheurs de Princeton, pour démontrer que toutes les prévisions ne sont pas à prendre au pied de la lettre.
Facebook fait régulièrement l'objet d'études qui prédisent sa mort imminente. La dernière en date, publiée par Princeton, a apparemment fait déborder le vase, au point que certains analystes du réseau social de Mark se sont empressés de reprendre les méthodes utilisées pour prédire également le déclin de la célèbre université.
L'étude publiée par Princeton se base principalement sur des données fournies par Google Trends, sensées témoigner de l'intérêt des internautes pour tel ou tel sujet. Des modèles de projection ont ensuite été utilisés et concluent à la mort de Facebook d'ici 2017. Mike Develin, analyste pour le célèbre réseau social s'est emparé de cette méthodologie pour prédire la fin de Princeton d'ici 2021.
Mike termine son papier en précisant qu'il ne croit bien entendu pas au déclin de Princeton, mais qu'il voulait montrer qu'il ne faut pas prendre toutes les études au pied de la lettre, et que certaines méthodes d'analyse peuvent mener à des conclusions
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Facebook fait régulièrement l'objet d'études qui prédisent sa mort imminente. La dernière en date, publiée par Princeton, a apparemment fait déborder le vase, au point que certains analystes du réseau social de Mark se sont empressés de reprendre les méthodes utilisées pour prédire également le déclin de la célèbre université.
L'étude publiée par Princeton se base principalement sur des données fournies par Google Trends, sensées témoigner de l'intérêt des internautes pour tel ou tel sujet. Des modèles de projection ont ensuite été utilisés et concluent à la mort de Facebook d'ici 2017. Mike Develin, analyste pour le célèbre réseau social s'est emparé de cette méthodologie pour prédire la fin de Princeton d'ici 2021.
Mike termine son papier en précisant qu'il ne croit bien entendu pas au déclin de Princeton, mais qu'il voulait montrer qu'il ne faut pas prendre toutes les études au pied de la lettre, et que certaines méthodes d'analyse peuvent mener à des conclusions
assez folles. On imagine que cela vaut également pour les études commandées par des partis politiques et autres lobbys.
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