John Sculley pense qu'Apple doit s'adapter aux marchés émergents
Par Arnaud Morel - Publié le
L'homme n'a pas laissé que des bons souvenirs lors de son passage à la direction d'Apple, de 1983 à 1993, et John Sculley restera toujours celui qui aura viré Steve Jobs, en 1985. Pourtant, l'ancien responsable de Pepsi (et pas Coca Cola comme indiqué précédemment par erreur) continue de s'intéresser à la Pomme, et les médias à la sienne.
Dans une interview donnée à Bloomberg, John Sculley revient sur le joli crash boursier d'Apple, dont le titre a atteint son plus bas cours en 11 mois hier, clôturant à 486 $ l'action. Pour lui, le
En outre, estime Sculley, la concurrence est désormais bien musclée. Samsung a réduit l'écart avec Apple.
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Dans une interview donnée à Bloomberg, John Sculley revient sur le joli crash boursier d'Apple, dont le titre a atteint son plus bas cours en 11 mois hier, clôturant à 486 $ l'action. Pour lui, le
meilleur d'Apple reste à venir, et Tim Cook
est l'homme idéal pour la situation actuelle.
Pour vous adapter à un marché aussi changeant, où le prix d'un smartphone est passé de 500 $, à, pour certaines entreprises, moins de 100 $, vous devez repenser toute votre chaine de production. Et Tim Cook est parfait pour ça, explique-t-il, faisant allusion aux excellentes capacités de gestionnaire de l'actuel PDG de la Pomme. Ainsi, Sculley se félicite du nouveau rythme semestriel des renouvellements de produits, un rythme qu'Apple semble avoir adopté sur le segment des iPad.
En outre, estime Sculley, la concurrence est désormais bien musclée. Samsung a réduit l'écart avec Apple.
La différenciation entre un i=phone 5 et un Galaxy S3 n'est plus si importante que ça.
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