Il y a un an, Steve Jobs décédait
Par Arnaud Morel - Publié le
Apple va bien, sans son initiateur. Mais le charisme unique de l'homme manque cruellement au paysage, ainsi que sa capacité de rupture et de clivage. Son discours à Stanford, en 2005, reste pour beaucoup le plus brillant testament de l'homme qui a changé l'industrie des technologies à tout jamais.
Tim Cook, le pro des chaines d'approvisionnement, assure une direction sans doute plus consensuelle, quoique plus réactive pour colmater les brèches ou réagir aux incidents qui émaillent la vie de l'entreprise.
Pour Apple, la route continue.