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Quand l'iPhone convertit même les irréductibles

Par Arnaud Morel - Publié le

Petite chronique amusante proposée par MacNewsWorld qui laisse la parole à Mary Jo Pehl, qu'on pourrait qualifier de rétive aux technologies. J'ai toujours été une tardive en toute matière. Pour l'essentiel, je tends à l'ascèse parce que je crois que la plupart des choses dont nous avons "besoin" sont superflues. Ma philosophie pourrait être résumée par cette phrase des Marx Brothers : "quoi que ce soit, je suis contre".

Mais Mary a franchi le pas et a acheté un iPhone : Le souffle court, mon corps parcouru de frissons d'excitation, je tiens la petite et fine boite dans ma main. Le soleil perce les nuages et un chœur d'anges semble chanter tandis que j'ouvre la boite.

La suite, vous la devinez : Maintenant je meugle devant ce précieux petit miracle, m'exclamant devant chacune des choses que je peux désormais faire.

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