On attaque l'Internet crénons !
Par Mathieu Godart - Publié le
align="right"]Vous ne devinerez jamais le dernier méfait que des mécréants ont fait hier par pur vandalisme... Des célérats de la pire espèce, des gens dangereux et incontrôlables, bref des méchants pirates de l'Internet ont attaqué les serveurs root du réseau des réseau.
Plus sérieusement, 8 ou 9 des 13 ont succombés à la plus grande attaque jamais menée contre les serveurs qui se chargent de diriger les requêtes "primaires" (les redirections de plus haut niveau) de tout l'Internet. L'œuvre émanait de plusieurs pirates très bien organisés. Selon Paul Vixie de l'Internet Software Consortium Inc., si l'attaque avait été quelque peu prolongée, des problèmes de connexion et des latences auraient pu affecter tout le réseau.
Mais pas de panique, un porte parole du FBI est là pour nous rassurer : "aware of the reports and looking into it", comprennez : "let the police do his job" ou encore "laissez la police faire son travail" (merci au commissaire Bialès pour la traduction).
Plus de détails sur cette attaque DDOS sur le site du Washington Post.
Et ne me dites pas que "l'Internet" ça fait ringard, il paraît que c'est comme ça qu'il faut dire.
Plus sérieusement, 8 ou 9 des 13 ont succombés à la plus grande attaque jamais menée contre les serveurs qui se chargent de diriger les requêtes "primaires" (les redirections de plus haut niveau) de tout l'Internet. L'œuvre émanait de plusieurs pirates très bien organisés. Selon Paul Vixie de l'Internet Software Consortium Inc., si l'attaque avait été quelque peu prolongée, des problèmes de connexion et des latences auraient pu affecter tout le réseau.
Mais pas de panique, un porte parole du FBI est là pour nous rassurer : "aware of the reports and looking into it", comprennez : "let the police do his job" ou encore "laissez la police faire son travail" (merci au commissaire Bialès pour la traduction).
Plus de détails sur cette attaque DDOS sur le site du Washington Post.
Et ne me dites pas que "l'Internet" ça fait ringard, il paraît que c'est comme ça qu'il faut dire.