Moteurs de recherche et réseaux sociaux dans la collimateur de la CNIL
Par Arnaud Morel - Publié le
Du côté de la CNIL et du regroupement européen des 26 instances similaires, bizarrement dénommé G29, on s'agace des libertés prises par les moteurs de recherche et les sites sociaux quant à la conservation des données personnelles.
Ainsi, dans un avis adopté à l'unanimité du G29, il est demandé aux principaux moteurs de recherche de ramener le délai de conservation des données de recherche des internautes à 6 mois. Contre 13 à 18 aujourd'hui. Ou de faire la preuve de l'intérêt d'un conservation plus longue.
Mais le G29 n'entend pas s'arrêter en si bon chemin et vise, désormais également, les sites sociaux, accusés d'organiser la traçabilité des individus.
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Ainsi, dans un avis adopté à l'unanimité du G29, il est demandé aux principaux moteurs de recherche de ramener le délai de conservation des données de recherche des internautes à 6 mois. Contre 13 à 18 aujourd'hui. Ou de faire la preuve de l'intérêt d'un conservation plus longue.
Mais le G29 n'entend pas s'arrêter en si bon chemin et vise, désormais également, les sites sociaux, accusés d'organiser la traçabilité des individus.
Facebook va trop loin, explique Gwendal Le Grand, le directeur de l'expertise informatique de la Cnil.
Cette entreprise n'est pas en phase avec le principe de protection des données personnelles.
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