La Chine développe sa propre « Étoile de la Mort ». Oui oui vous avez bien lu
Par Vincent Lautier - Publié le
Une arme à faisceaux convergents qui pourrait brouiller des satellites et perturber des systèmes électroniques ? Ce n’est plus juste de la science-fiction. Des chercheurs chinois affirment avoir développé un système d’énergie dirigée inspiré du fameux superlaser de l’Étoile de la Mort. Oui, on parle bien de cette arme capable de raser des planètes dans Star Wars. Alors, à quel point cette innovation est-elle proche d’une vraie révolution militaire ? Faut-il déjà entrer dans la résistance ?
Le principe est assez simple sur le papier : sept véhicules équipés de dispositifs à micro-ondes envoient leurs faisceaux vers une cible unique. Résultat ? Une énergie combinée qui pourrait neutraliser des satellites ou même des équipements électroniques. Mais en pratique, c’est peut-être un peu plus compliqué : pour aligner ces faisceaux, il faut une précision au millimètre près et une synchronisation au picoseconde (oui, ça se compte en trillionièmes de seconde).
Les scientifiques chinois, visiblement déterminés, n’ont pas lésiné sur les moyens pour y arriver. Ils ont connecté les émetteurs avec des fibres optiques ultra-précises et ajouté des dispositifs laser pour affiner le positionnement. Pour vous donner une idée, leur système est encore plus précis que l’horloge atomique qui gère le GPS.
L’arme aurait déjà été testée avec succès. Selon les chercheurs, elle est capable de brouiller les signaux des satellites GPS américains. Cette technologie pourrait aussi servir pour des entraînements militaires ou tester de nouvelles innovations. Par contre, inutile d’espérer connaître les détails techniques exacts : tout reste classé secret défense, bien sûr.
Pourquoi une telle arme ? D’abord, elle est économique : pas besoin de munitions, juste de l’énergie. Ensuite, elle pourrait compléter les armes traditionnelles en offrant une nouvelle façon de neutraliser des cibles, en particulier dans l’espace. Et avec la course mondiale aux technologies de défense, la Chine cherche clairement à garder une longueur d’avance.
Alors, faut-il s’inquiéter de voir un jour une vraie
Un système basé sur la précision extrême
Le principe est assez simple sur le papier : sept véhicules équipés de dispositifs à micro-ondes envoient leurs faisceaux vers une cible unique. Résultat ? Une énergie combinée qui pourrait neutraliser des satellites ou même des équipements électroniques. Mais en pratique, c’est peut-être un peu plus compliqué : pour aligner ces faisceaux, il faut une précision au millimètre près et une synchronisation au picoseconde (oui, ça se compte en trillionièmes de seconde).
Les scientifiques chinois, visiblement déterminés, n’ont pas lésiné sur les moyens pour y arriver. Ils ont connecté les émetteurs avec des fibres optiques ultra-précises et ajouté des dispositifs laser pour affiner le positionnement. Pour vous donner une idée, leur système est encore plus précis que l’horloge atomique qui gère le GPS.
Des essais déjà prometteurs
L’arme aurait déjà été testée avec succès. Selon les chercheurs, elle est capable de brouiller les signaux des satellites GPS américains. Cette technologie pourrait aussi servir pour des entraînements militaires ou tester de nouvelles innovations. Par contre, inutile d’espérer connaître les détails techniques exacts : tout reste classé secret défense, bien sûr.
Pourquoi une telle arme ? D’abord, elle est économique : pas besoin de munitions, juste de l’énergie. Ensuite, elle pourrait compléter les armes traditionnelles en offrant une nouvelle façon de neutraliser des cibles, en particulier dans l’espace. Et avec la course mondiale aux technologies de défense, la Chine cherche clairement à garder une longueur d’avance.
Vers une militarisation de la science-fiction ?
Alors, faut-il s’inquiéter de voir un jour une vraie
Étoile de la Mort? On n’en est pas vraiment encore là, vous connaissez ma tendance à tout exagérer, mais ce système montre quand même à quel point les armes d’énergie dirigée pourraient prendre de l’importance. Reste à savoir si cette course technologique se fera dans l’espace… ou si on en verra les premières conséquences un peu plus près de chez nous, au sol. D’ici là je vais commencer à réparer mon droïde, on ne sait jamais.