Google va faire tourner son IA à l'énergie nucléaire
Par Laurence - Publié le
L'Intelligence Artificielle séduit de plus en plus d'utilisateurs et nécessite forcément de plus en plus d'énergie pour la faire tourner. Aussi, Google s'est-elle tournée vers la start-up américaine Kairos Power, afin de se fournir en carburant et pas n'importe lequel puisqu'il s'agit d'énergie nucléaire.
En effet, Kairos Power va en produire via des petits réacteurs de nouvelle génération -dénommés SMR (pour small modular reactor). Le contrat prévoit une mise en service du premier d'ici à 2030, avec une montée en régime jusqu'en 2035. Les SMR sont des réacteurs de nouvelle génération. Pour le moment, aucun d’entre eux n'est encore opérationnel aux Etats-Unis.
Cette opération permettra de répondre -en partie- aux énormes besoins en électricité de la filiale d'Alphabet. Notons que cette dernière n'a pas communiqué le montant pour cette transaction.
Mais il ne s'agit pas d'une démarche isolée. En effet, d'autres prestataires ont été contraints de trouver des solutions pour assurer le développement de l'IA générative, qui nécessite des quantités énormes de données et de semi-conducteurs pour fonctionner. Pour s'assurer de disposer des ressources suffisantes en électricité, il n'est pas rare de passer des accords avec des fournisseurs d'énergies renouvelables, notamment dans le nucléaire.
Fin septembre, Microsoft a dévoilé un partenariat avec le groupe américain Constellation Energy. Celui-ci prévoit la réouverture d'un réacteur de la centrale de Three Mile Island, située en Pennsylvanie. Pour rappel, le site est tristement célèbre pour avoir connu le plus grave incident du nucléaire civil américain, le 28 mars 1979. Il a été classé au niveau 5 de l'échelle internationale des événements nucléaires (INES).
Malgré l'importance de l’accident, l’enceinte de confinement est restée intègre. Dans un style plus apocalyptique, le site ainsi que l'accident sont tous deux mentionnés dans le roman
De l’IA nucléaire
En effet, Kairos Power va en produire via des petits réacteurs de nouvelle génération -dénommés SMR (pour small modular reactor). Le contrat prévoit une mise en service du premier d'ici à 2030, avec une montée en régime jusqu'en 2035. Les SMR sont des réacteurs de nouvelle génération. Pour le moment, aucun d’entre eux n'est encore opérationnel aux Etats-Unis.
Dans l'ensemble, cet accord permettra jusqu'à 500 mégawatts d’électricité sans carbone 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, aux réseaux électriques américains et aidera davantage de communautés à bénéficier d'une énergie nucléaire propre et abordable.
Cette opération permettra de répondre -en partie- aux énormes besoins en électricité de la filiale d'Alphabet. Notons que cette dernière n'a pas communiqué le montant pour cette transaction.
A la recherche d'énergie
Mais il ne s'agit pas d'une démarche isolée. En effet, d'autres prestataires ont été contraints de trouver des solutions pour assurer le développement de l'IA générative, qui nécessite des quantités énormes de données et de semi-conducteurs pour fonctionner. Pour s'assurer de disposer des ressources suffisantes en électricité, il n'est pas rare de passer des accords avec des fournisseurs d'énergies renouvelables, notamment dans le nucléaire.
Fin septembre, Microsoft a dévoilé un partenariat avec le groupe américain Constellation Energy. Celui-ci prévoit la réouverture d'un réacteur de la centrale de Three Mile Island, située en Pennsylvanie. Pour rappel, le site est tristement célèbre pour avoir connu le plus grave incident du nucléaire civil américain, le 28 mars 1979. Il a été classé au niveau 5 de l'échelle internationale des événements nucléaires (INES).
Malgré l'importance de l’accident, l’enceinte de confinement est restée intègre. Dans un style plus apocalyptique, le site ainsi que l'accident sont tous deux mentionnés dans le roman
Les Robots et l'Empired'Isaac Asimov.