JO Paris 2024 : vous ne devinerez jamais qui a saboté la fibre optique du Château de Vincennes !
Par Laurence - Publié le
Au vu du contexte mondial, la sécurité des Jeux Olympiques mériterait bien une médaille. En effet, après les actes de vandalisme sur la fibre optique de plusieurs opérateurs le 29 juillet dernier, les soucis techniques constatés dans la fan zone du Château de Vincennes avaient entraîné une enquête immédiate et un résultat pour le moins surprenant...
Les dégradations avait été commises dans la nuit de mardi dernier vers 1h du matin. Ces dernières portaient sur des câbles de fibre optique qui permettent la diffusion des épreuves des Jeux olympiques dans la fan zone, et ce, au niveau des douves du château. Réparés le matin même, les câbles avaient été très rapidement sectionnés et endommagés à plusieurs endroits la nuit suivante, toujours aux mêmes heures !
Mais quel était ce mystérieux saboteur, qui ne sévissait que la nuit au mépris des systèmes de surveillance ? Les faits ont été immédiatement pris au sérieux après plusieurs actes de sabotage anti-JO constatés un peu partout en France, qui présentaient un mode opératoire assez similaire : une antenne-relais incendiée en Haute-Garonne avec la mention
L'enquête avait donc été ouverte très rapidement par la section de lutte contre la cybercriminalité et les soupçons se sont tout aussi vite portés sur un individu en particulier. En effet,
C'est en effet ce que vient de conclure le parquet de Paris. Dans ces circonstances, l'enquête a été classée sans suite
Plusieurs dégradations de la fan zone de Vincennes
Les dégradations avait été commises dans la nuit de mardi dernier vers 1h du matin. Ces dernières portaient sur des câbles de fibre optique qui permettent la diffusion des épreuves des Jeux olympiques dans la fan zone, et ce, au niveau des douves du château. Réparés le matin même, les câbles avaient été très rapidement sectionnés et endommagés à plusieurs endroits la nuit suivante, toujours aux mêmes heures !
Mais quel était ce mystérieux saboteur, qui ne sévissait que la nuit au mépris des systèmes de surveillance ? Les faits ont été immédiatement pris au sérieux après plusieurs actes de sabotage anti-JO constatés un peu partout en France, qui présentaient un mode opératoire assez similaire : une antenne-relais incendiée en Haute-Garonne avec la mention
No JO, le réseau de fibre optique de SFR, Bouygues et Free vandalisé dans plusieurs départements ou encore l'incendie des câbles de la SNCF nécessaires à la circulation des TGV.
Il court, il court...!
L'enquête avait donc été ouverte très rapidement par la section de lutte contre la cybercriminalité et les soupçons se sont tout aussi vite portés sur un individu en particulier. En effet,
après analyse des sections nettes des câbles, ainsi que de la vidéosurveillance, les faits sont imputés à une fouine!
C'est en effet ce que vient de conclure le parquet de Paris. Dans ces circonstances, l'enquête a été classée sans suite
pour absence d'infraction. Mais d'après la rumeur publique, le coupable court toujours...