Inclusive Brains, un Neuralink non intrusif made in Marseille !
Par Laurence - Publié le
La start-up marseillaise Inclusive Brains, spécialiste des neurotechnologies et de l’Intelligence artificielle, va tester sa technologie à l'occasion des prochains Jeux Olympiques.
Elle va en effet tester sa technologie lors du parcours de la flamme. En effet, Nathalie -polyhandicapée- sera un des porteurs de la flamme olympique dans les rues de la cité phocéenne.
Mais elle ne tiendra pas la torche directement avec son bras mais grâce à un exosquelette, dont les mouvements sont contrôlés via un système reposant sur l'IA et relié à son cerveau par des électrodes.
Il s'agit du projet d'interface neurale Prometheus, une technologie non invasive développée par Inclusive Brains et menée par Olivier Oullier, un professeur de neurosciences et de psychologie.
En pratique, l'intelligence Artificielle permet de transformer les ondes électriques cérébrales en commandes mentales. Et ainsi, contrôler des objets par la pensée ! Ce procédé lui a d'ailleurs valu le surnom de mini-Neuralink français (à la différence de celle d'Elon Musk, il n'y pas pas de puces implantée dans le cerveau).
De son côté, Neuralink continue de faire parler d'elle avec sa première opération réussie. Ainsi, la société a récemment diffusé en direct une vidéo sur X avec son patient zéro, doté d'une puce. Il s'agit d'un homme de 29 ans -nommé Nolan Arbaugh- paralysé partiellement après un accident de plongée survenu il y a huit ans.
A priori, le patient est ravi de l'expérience, précisant que l'opération chirurgicale était en soi
Mais au delà, le jeune homme décrit l'expérience comme extra-ordinaire, la comparant à l'utilisation de la Force ce qui lui permet désormais de
Un procédé révolutionnaire
Elle va en effet tester sa technologie lors du parcours de la flamme. En effet, Nathalie -polyhandicapée- sera un des porteurs de la flamme olympique dans les rues de la cité phocéenne.
Mais elle ne tiendra pas la torche directement avec son bras mais grâce à un exosquelette, dont les mouvements sont contrôlés via un système reposant sur l'IA et relié à son cerveau par des électrodes.
Il s'agit du projet d'interface neurale Prometheus, une technologie non invasive développée par Inclusive Brains et menée par Olivier Oullier, un professeur de neurosciences et de psychologie.
En pratique, l'intelligence Artificielle permet de transformer les ondes électriques cérébrales en commandes mentales. Et ainsi, contrôler des objets par la pensée ! Ce procédé lui a d'ailleurs valu le surnom de mini-Neuralink français (à la différence de celle d'Elon Musk, il n'y pas pas de puces implantée dans le cerveau).
Le premier patient doté d'une puce neuralink
De son côté, Neuralink continue de faire parler d'elle avec sa première opération réussie. Ainsi, la société a récemment diffusé en direct une vidéo sur X avec son patient zéro, doté d'une puce. Il s'agit d'un homme de 29 ans -nommé Nolan Arbaugh- paralysé partiellement après un accident de plongée survenu il y a huit ans.
A priori, le patient est ravi de l'expérience, précisant que l'opération chirurgicale était en soi
super facile. Il a toutefois dû apprendre à faire la différence entre le mouvement tel qu'il l'imagine et celui qu'il essaie de faire. Par exemple, il s'agissait ici de contrôler un curseur sur un écran.
Mais au delà, le jeune homme décrit l'expérience comme extra-ordinaire, la comparant à l'utilisation de la Force ce qui lui permet désormais de
juste regarder quelque part sur un écranet de déplacer le curseur où il veut. Désormais, il peut même jouer aux échecs. Il a aussi testé le jeu vidéo Civilization VI pendant huit heures consécutives. Dans la foulée, Elon Musk -qui a fondé Neuralink en 2016- a forcément retweeté la vidéo, avec la mention
télépathie.