Apple appelée à se justifier en matière de liberté d’expression !
Par Laurence - Publié le
En ce début d’année, les Etats-Unis repartent à la chasse aux sorcières ! Ainsi, le comité judiciaire de la Chambre des représentants vient d’envoyer une série de citations à comparaître aux dirigeants des grandes entreprises technologiques.
Ainsi, Tim Cook vient d’être mis en demeure de partager des informations sur les politiques de modération des contenus au niveau d’Apple, et ce, avant le 23 mars 2023. La même requête a été présentée à Alphabet (Sundar Pichai), Amazon (Andy Jessy), Meta (Mark Zuckerberg) et Microsoft (Satya Nadella). Il s’agit là plus particulièrement d’étudier la place laissée à la liberté d’expression au sein de l’entreprise.
Apparemment, ce même comité serait passé à la vitesse supérieure, il aurait tenté à plusieurs reprises de se rapprocher de ces cinq entreprises depuis décembre dernier. Mais,
Dans un communiqué, l’entité se veut assez ferme, elle entend en effet vérifier une
Elle y rappelle le rôle du Congrès
L’affaire a -en outre- une connotation politique, puisque les membres républicains de la Chambre enquêtent pour savoir si l'administration Biden a travaillé avec de grandes entreprises tech sur
L’implication d’Apple n'est pas très claire, mais cela pourrait avoir un rapport avec des apps au niveau de l'App Store ou encore de ses règles internes et son culte du secret. Notons que malgré les récents soucis au niveau du contrôle des contenus sur Twitter, Elon Musk n’a pas été inclus dans cette liste très sélect !
Les gafam dans le collimateur du Congrès
Ainsi, Tim Cook vient d’être mis en demeure de partager des informations sur les politiques de modération des contenus au niveau d’Apple, et ce, avant le 23 mars 2023. La même requête a été présentée à Alphabet (Sundar Pichai), Amazon (Andy Jessy), Meta (Mark Zuckerberg) et Microsoft (Satya Nadella). Il s’agit là plus particulièrement d’étudier la place laissée à la liberté d’expression au sein de l’entreprise.
Apparemment, ce même comité serait passé à la vitesse supérieure, il aurait tenté à plusieurs reprises de se rapprocher de ces cinq entreprises depuis décembre dernier. Mais,
ces dernières n’auraient pas répondu de manière adéquate aux demandes.
Des accusations d’atteintes à la liberté d’expression !
Dans un communiqué, l’entité se veut assez ferme, elle entend en effet vérifier une
collusion signalée par le gouvernement fédéral au niveau des Big Tech pour réprimer la liberté d'expression.
Elle y rappelle le rôle du Congrès
en matière de protection et de promotion des principes fondamentaux de la liberté d'expression, y compris en examinant la façon dont les acteurs privés se coordonnent avec le gouvernement pour réprimer le discours protégé par le premier amendement.
L’affaire a -en outre- une connotation politique, puisque les membres républicains de la Chambre enquêtent pour savoir si l'administration Biden a travaillé avec de grandes entreprises tech sur
la censure de points de vue légitimes sur des questions, telles que la politique du Covid-19 ce qui irait à l'encontre de la politique de la Maison Blanche.
L’implication d’Apple n'est pas très claire, mais cela pourrait avoir un rapport avec des apps au niveau de l'App Store ou encore de ses règles internes et son culte du secret. Notons que malgré les récents soucis au niveau du contrôle des contenus sur Twitter, Elon Musk n’a pas été inclus dans cette liste très sélect !