Des caméras de surveillance "augmentées" vont être testées pour les JO Paris 2024
Par Laurence - Mis à jour le
Les JO de Paris -qui auront lieu en 2024- ne lésineront pas sur la sécurité. En effet, le Sénat a adopté mardi l'article phare du projet de loi axé sur la sécurité.
Pour rappel, ce dernier va autoriser l'expérimentation de caméras augmentées, c'est à dire dotées d'algorithmes à compter de cette année en vue des JO-2024. Il s'agit en effet de proposer un cadre des plus sécurisé et surtout de ne pas se retrouver dans la même situation qu'en mai dernier avec la finale de la Ligue des champions au Stade de France.
Notons qu'il s'agit de la version du texte, qui a été remaniée par l'avis de la Cnil et du Conseil d'état. Si les tests étaient concluants, ces caméras seraient placées aux abords des enceintes ou dans les transports à proximité. Elles pourraient par ailleurs détecter des
Concrètement, les systèmes utilisés pour la surveillance pourront utiliser l'intelligence artificielle couplée à un algorithme capable de détecter un mouvement de foule, un colis abandonné ou encore une personne au comportement anormal. Elle serait ainsi en mesure de vérifier et signaler en temps réel certains comportements ou objets suspects. Un domaine où la France excelle.
Parmi les autres mesures, les scanners corporels pourraient être utilisés, et ce, afin de pallier le manque d'agents de sécurité privée, et notamment de personnel féminin. A défaut, il aurait fallu recourir à l'armée... Egalement au programme, on trouve des tests génétiques pour déceler les éventuelles traces de dopage.
Pas question de reproduire le scandale du Stade de France !
Pour rappel, ce dernier va autoriser l'expérimentation de caméras augmentées, c'est à dire dotées d'algorithmes à compter de cette année en vue des JO-2024. Il s'agit en effet de proposer un cadre des plus sécurisé et surtout de ne pas se retrouver dans la même situation qu'en mai dernier avec la finale de la Ligue des champions au Stade de France.
Notons qu'il s'agit de la version du texte, qui a été remaniée par l'avis de la Cnil et du Conseil d'état. Si les tests étaient concluants, ces caméras seraient placées aux abords des enceintes ou dans les transports à proximité. Elles pourraient par ailleurs détecter des
objets abandonnésou encore analyser des flux de personnes. L'expérimentation pourra démarrer dès l'entrée en vigueur du texte, mais aussi pour des manifestations
récréativesou bien
culturelles.
Les mesures proposées
Concrètement, les systèmes utilisés pour la surveillance pourront utiliser l'intelligence artificielle couplée à un algorithme capable de détecter un mouvement de foule, un colis abandonné ou encore une personne au comportement anormal. Elle serait ainsi en mesure de vérifier et signaler en temps réel certains comportements ou objets suspects. Un domaine où la France excelle.
Parmi les autres mesures, les scanners corporels pourraient être utilisés, et ce, afin de pallier le manque d'agents de sécurité privée, et notamment de personnel féminin. A défaut, il aurait fallu recourir à l'armée... Egalement au programme, on trouve des tests génétiques pour déceler les éventuelles traces de dopage.