Au vu des innombrables activités d’Elon Musk, toutes plus hétéroclites les unes que les autres, on a tendance à s'y perdre... Entre les voitures électriques, les fusées, les cabriolets dans l'espace, les modèles réduits, les acquisitions médiatiques, les bébés aux noms bizarres, le fringuant milliardaire arrive encore à nous surprendre avec une de ses firmes créatives -dont on parle moins comparé à Tesla ou Space X- : The Boring Company.
Cette dernière comme son nom le laisse à penser, fourmille d'idées saugrenues ! Son activité est en effet de commercialiser quantité de produits plus insolites les uns que les autres. On se souvient notamment du fameux lance flammes lancé en 2018.
Elon numéro 5 ou Aqua Di Musk ?
Mais il semble que Monsieur Musk ait décidé d'aller encore plus loin ! Suite à une idée lancée sur Twitter le 28 septembre dernier, la firme commercialise dès à présent, une eau de Cologne répondant au doux nom de Burnt Hair (oui tout à fait, cheveux brulés, ça sonne un peu comme un tube de peinture, Terre de Sienne brûlée etc).
En pratique, il s’agit d’un parfum pour hommes proposé par Singed. Ce dernier se cache dans un mystérieux flacon, tout de rouge vêtu, avec un bouchon cabochon en forme de rubis. Cette fragrance est commercialisée pour la somme de 104,95 euros, comme une essence de marque. On n’est pas sûr que cela marcherait si Tim Cook en faisait autant…
Bref le cadeau idéal pour Noël ! A condition qu'il en reste, me direz-vous. En effet, Elon Musk vient de tweeter (sur sa future plateforme personnelle à moins d'un énième rebondissement) qu’il s’en serait écoulé 10 000 exemplaires, soit plus d’un million de dollars de recettes pour sentir les cheveux cramés dans les soirées mondaines.
Elon Musk achètera-t-il Twitter pour 44 milliards ?
Pour rappel, dans le trépidant feuilleton de l'été, le milliardaire est revenu sur ses dernières positions via une lettre officielle envoyée à Twitter dans laquelle il réaffirme son intention d'acheter la plate-forme à son prix d'origine, soit 44 milliards de dollars. Pour rappel en avril dernier, il avait proposé d'acquérir la plateforme dans le cadre d'un accord que cette dernière avait finalement accepté non sans quelques réticences. Néanmoins l'affaire avait été suspendue rapidement. S'estimant floué sur le nombre exact de comptes faux ou de spam, l’homme d’affaires avait demandé davantage de renseignements sur les méthodes utilisées ainsi que l'accès à la totalité des informations.
En juillet, il s’était rétracté et Twitter avait saisi la justice pour le forcer à finaliser l'opération. Le procès qui devait justement démarrer le 17 octobre n’a pas été, pour le moment, repoussé ou suspendu. Après tout, Monsieur Musk pourrait à nouveau changer d’avis…
