Apple a du mal à loger ses salariés américains (mais aussi une cinquantaine de sans-abris)
Par Laurence - Mis à jour le
Depuis l’an dernier, Apple tente, avec l’ONG HomeFirst, de reloger des sans-abri, qui avaient trouvé refuge sur un de ses terrains destiné à recevoir des logements, dans le cadre d'un plan global 2,5 milliards de dollars. En septembre dernier, 56 personnes ont été déplacées et installées dans un motel pendant neuf mois.
Ces sans-abris ont également reçu une aide afin de trouver de nouveaux logements. Mais au bout de neuf mois, le constat n’est pas très positif : seuls huit ont été transférés avec succès dans une résidence permanente, 25 étaient toujours au motel au 16 mai et 10 avaient quitté le programme. Comme le précise Lori Smith, directrice marketing de HomeFirst, chaque personne est unique avec
De plus, Apple fait face à Shaunn Cartwright -présenté comme l’avocat des sans-abris. Il indique que si Apple avait bien offert une forme de stabilité avec une chambre de motel, elle a ensuite enlevé cette stabilité. Soulignant comment les résidents en ont bénéficié, il insiste pour qu'Apple prolonge le programme :
Ces sans-abris ont également reçu une aide afin de trouver de nouveaux logements. Mais au bout de neuf mois, le constat n’est pas très positif : seuls huit ont été transférés avec succès dans une résidence permanente, 25 étaient toujours au motel au 16 mai et 10 avaient quitté le programme. Comme le précise Lori Smith, directrice marketing de HomeFirst, chaque personne est unique avec
un parcours vers l'itinérance, chacune aura son chemin pour en sortir, et rarement cela se ressemble. Le problème est que la zone de San José est en plein crise immobilière et affiche un manque cruel de logements abordables.
De plus, Apple fait face à Shaunn Cartwright -présenté comme l’avocat des sans-abris. Il indique que si Apple avait bien offert une forme de stabilité avec une chambre de motel, elle a ensuite enlevé cette stabilité. Soulignant comment les résidents en ont bénéficié, il insiste pour qu'Apple prolonge le programme :
S’ils finissent dans la rue, c'est entièrement la faute d'Apple. C'est la honte d'Apple. Une argumentation assez unilatérale..