Mark Zuckerberg défend le modèle économique de Facebook : pub et confidentialité !
Par Laurence - Publié le
C’est dans les colonnes du Wall Street Journal que le CEO de Facebook Mark Zuckerberg a choisi de défendre son modèle économique. En effet, depuis presque un an, il doit faire face à la montée en puissance des critiques, notamment avec le scandale de Cambridge Analytica et les piratages dévoilés en septembre.
Il veut avant tout rassurer ses usagers et ses investisseurs, rappelant une nouvelle fois que le réseau social ne vend pas les données personnelles de ses usagers. Il revient sur l’utilisation de la publicité, qui assure la totalité des revenus, et permet a contrario de financer le service et de le proposer gratuitement.
Pour autant, il ne nie pas la collecte de données personnelles mais tient à la justifier :
Il précise que le réseau ne fournit pas les données aux annonceurs ou parties tierces. En revanche, il leur facture l'accès aux usagers ciblés grâce aux données personnelles des 2,3 milliards d’utilisateurs, collectées par le réseau. Il explique qu’à partir de ces données, sont créées des catégories - tout en reconnaissant que
Enfin, face à la critique concernant certains contenus nuisibles ou conflictuels, la propagation des infox ou l’amplification des contenus haineux, il répond mettre en œuvre tous les moyens possibles :
Source
Il veut avant tout rassurer ses usagers et ses investisseurs, rappelant une nouvelle fois que le réseau social ne vend pas les données personnelles de ses usagers. Il revient sur l’utilisation de la publicité, qui assure la totalité des revenus, et permet a contrario de financer le service et de le proposer gratuitement.
Pour autant, il ne nie pas la collecte de données personnelles mais tient à la justifier :
les utilisateurs disent que s'ils doivent voir des publicités, ces dernières doivent être pertinentes pour eux. Pour ce faire, nous devons connaître leurs centres d'intérêt. [...] Nous ne vendons pas les données personnelles, contrairement à ce qui est soutenu
Il précise que le réseau ne fournit pas les données aux annonceurs ou parties tierces. En revanche, il leur facture l'accès aux usagers ciblés grâce aux données personnelles des 2,3 milliards d’utilisateurs, collectées par le réseau. Il explique qu’à partir de ces données, sont créées des catégories - tout en reconnaissant que
ce modèle peut sembler opaque.
Enfin, face à la critique concernant certains contenus nuisibles ou conflictuels, la propagation des infox ou l’amplification des contenus haineux, il répond mettre en œuvre tous les moyens possibles :
ces contenus inappropriés peuvent parfois rester en ligne pour une seule raison : les équipes [humaines] et les systèmes d'IA sur lesquels nous nous appuyons pour les examiner ne sont pas parfaits. Certains pourraient aussi y voir une forme d’opacité dans ce traitement...
Source