Dans un contexte très sensible, les réseaux sociaux poursuivent leur traque concernant les fausses informations. Ainsi, il ne se passe pas un jour sans que des annonces ne soient diffusées sur le sujet.
Facebook dit avoir supprimé 652 pages et comptes de désinformation iraniens et russes. Ces derniers ciblaient tout particulièrement l'Amérique latine, les États-Unis, le Royaume-Uni et le Moyen-Orient. De son côté,
Twitter a également annoncé la suspension de 284 comptes prônant des
fake news, dont beaucoup étaient originaires d'Iran (selon le réseau). A chaque fois on remarque que les plateformes communiquent davantage, même un peu trop désormais.
Il faut dire également que les futures législations européennes risquent d'instaurer des mesures draconiennes concernant certains contenus, quitte à exiger un retrait dans l'heure sous peine d'amende ou de mise en jeu de responsabilité (pénale). [
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