Apple : mille milliards, ça en fait des actionnaires et des investisseurs heureux !
Par Laurence - Publié le
Hier, la capitalisation boursière d’Apple a franchit la barre (très) symbolique des mille milliards de dollars. Et, comme beaucoup d’entre vous l’ont justement remarqué, les actionnaires ne peuvent que se réjouir -et vendre si le besoin est. Mais il en est un qui occupe le trône des dollars : Warren Buffet. En effet le milliardaire, via Berkshire Hathaway, détient quelques 5% du capital d’Apple, faisant de lui le deuxième plus gros actionnaire de la firme.
Mais cette dernière n’est pas un actionnaire de la première heure, la firme n’a investi qu’en 2016, pour une valeur certes conséquente d’un milliard de dollars (AAPL était à 99,02 dollars). Dans un second temps, l’investisseur a augmenté progressivement sa participation pour atteindre 30 milliards début 2018 (réévalués à 50 milliards aujourd’hui). Anecdotique ou presque car Warren Buffet le dit haut et fort : il n’aime pas les entreprise technologies. Mais il sait reconnaître le bon investissement et estime grandement la valeur de la marque Apple.
De plus, plusieurs fonds communs de placement (tel le iShares U.S. Technology ETF avec 17% de ses 4,1 milliards de dollars de ressources) ont également investi dans la Pomme et possèdent près de 1,1 milliard d'actions d'Apple, ce qui donne 21% des actions de la société et près de 220 milliards de dollars. À côté de cela, d’autres fonds comme Vanguard Group -principal actionnaire de Cupertino, avec plus de 342 millions d'actions- BlackRock et State Street sont parmi les plus grands actionnaires avec une participation totale de près de 16%.
Et puis, il y a les premiers actionnaires, ceux des années 80, qui ont eu la possibilité d’en acheter et surtout qui les ont gardé ! Comme Mark Coughlin qui travaillait pour une entreprise commercialisant les premiers Mac et qui a reçu quelques 1 000 actions initiales à cette époque grâce à un programme d'incitation. Ces actions auraient été évaluées -à l’achat- à environ 0,51$ par action. Et comble de l’ironie, son
Enfin John Sculley, qui a dirigé Apple pendant 10 ans (de 1983 à 1993), a avoué toute son admiration pour Tim Cook, déclarant :
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Mais cette dernière n’est pas un actionnaire de la première heure, la firme n’a investi qu’en 2016, pour une valeur certes conséquente d’un milliard de dollars (AAPL était à 99,02 dollars). Dans un second temps, l’investisseur a augmenté progressivement sa participation pour atteindre 30 milliards début 2018 (réévalués à 50 milliards aujourd’hui). Anecdotique ou presque car Warren Buffet le dit haut et fort : il n’aime pas les entreprise technologies. Mais il sait reconnaître le bon investissement et estime grandement la valeur de la marque Apple.
L’immeuble du Nasdaq pour fêter le franchissement du seuil
© Reuters / Mike Segar
© Reuters / Mike Segar
De plus, plusieurs fonds communs de placement (tel le iShares U.S. Technology ETF avec 17% de ses 4,1 milliards de dollars de ressources) ont également investi dans la Pomme et possèdent près de 1,1 milliard d'actions d'Apple, ce qui donne 21% des actions de la société et près de 220 milliards de dollars. À côté de cela, d’autres fonds comme Vanguard Group -principal actionnaire de Cupertino, avec plus de 342 millions d'actions- BlackRock et State Street sont parmi les plus grands actionnaires avec une participation totale de près de 16%.
Et puis, il y a les premiers actionnaires, ceux des années 80, qui ont eu la possibilité d’en acheter et surtout qui les ont gardé ! Comme Mark Coughlin qui travaillait pour une entreprise commercialisant les premiers Mac et qui a reçu quelques 1 000 actions initiales à cette époque grâce à un programme d'incitation. Ces actions auraient été évaluées -à l’achat- à environ 0,51$ par action. Et comble de l’ironie, son
conseiller financier [l]’a grondé chaque année pendant 15 ans à ce sujet. Mais il a tenu tête, disant apprécier Steve Jobs, qu’il avait rencontré dans ces premières années.
Je croyais en lui, dit-il...
Enfin John Sculley, qui a dirigé Apple pendant 10 ans (de 1983 à 1993), a avoué toute son admiration pour Tim Cook, déclarant :
tout comme Apple fidélise grâce à la facilité d'utilisation de son marketing et de ses produits, elle dispose désormais d'une stratégie financière qui sécurise les actionnaires.
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