Apple, Google, Facebook (et les autres) se réuniront mercredi pour causer confidentialité
Par Laurence - Publié le
Crise de réunionite, prise de conscience ou pression médiatique ? Dans tous les cas, mercredi prochain, le Conseil de l'Industrie de la Technologie de l'Information organisera à San Francisco, une table ronde sur la confidentialité des données. Parmi les présents, on trouvera les grands noms de la tech, à commencer par Apple, Samsung, Google, Facebook, Salesforce, IBM, Microsoft, Intel, Qualcomm ou encore Dropbox.
Dean Garfield, président de l'organisation, a déclaré à Axios que les firmes tech sont conscientes de l'urgence et de la nécessité absolues de la situation :
Et l'opinion publique est particulièrement sensible au sujet, voire exigeante avec la succession des scandales ou l'introduction du RGPD. Par ailleurs, beaucoup aux États-Unis se posent des questions sur leur propre sécurité, regardant avec envie la protection européenne. Ces dernières semaines, une rumeur circulerait, comme quoi la Maison Blanche travaillerait également sur un encadrement normatif similaire.
Rappelons que les multinationales ont multiplié les mises à jour de leurs conditions générales d'utilisation en Europe, afin de se mettre en conformité. Certaines -comme Apple- ont choisi d'étendre ce régime à l'ensemble de leurs utilisateurs, sans distinction de nationalité. D'autres -à l'image de Facebook- ont limité les leurs au vieux continent.
Source
Dean Garfield, président de l'organisation, a déclaré à Axios que les firmes tech sont conscientes de l'urgence et de la nécessité absolues de la situation :
selon mon expérience, [elles] ont toujours considéré la protection de la vie privée comme un principe fondamental, mais la question de savoir comment lui donner un sens et en parler d'une manière qui a de vraies conséquences est désormais le plus urgent.
Et l'opinion publique est particulièrement sensible au sujet, voire exigeante avec la succession des scandales ou l'introduction du RGPD. Par ailleurs, beaucoup aux États-Unis se posent des questions sur leur propre sécurité, regardant avec envie la protection européenne. Ces dernières semaines, une rumeur circulerait, comme quoi la Maison Blanche travaillerait également sur un encadrement normatif similaire.
Rappelons que les multinationales ont multiplié les mises à jour de leurs conditions générales d'utilisation en Europe, afin de se mettre en conformité. Certaines -comme Apple- ont choisi d'étendre ce régime à l'ensemble de leurs utilisateurs, sans distinction de nationalité. D'autres -à l'image de Facebook- ont limité les leurs au vieux continent.
Source