Lisa Jackson parle de pomme verte, de droit à réparation (et un petit peu de Paradise Papers)
Par Laurence - Publié le
C'est une très longue interview au site australien news.com.au que Lisa Jackson -VP, Environment, Policy & Social Initiatives vient d'accorder. Elle revient sur la politique verte et sur la volonté de Cupertino d'utiliser des matériaux 100% recyclés et renouvelables comme les bio-plastiques et ainsi réduire sa dépendance aux matières premières.
Ainsi, les ingénieurs d'Apple ont travaillé à la production de
Elle rappelle également qu'Apple a été félicité récemment pour sa politique d'extraction responsable de carbone, par Amnesty International sur le suivi de la production de cobalt et par The Enough Project.
Mais elle a été également interrogée sur d'autres sujets d'actualité comme le droit à la réparation, où le fait ne pas permettre de réparer plus facilement les appareils est considéré par certains comme un non-sens dans la politique environnementale de l'entreprise.
Sur le sujet, Lisa Jackson déclare que la firme ne fait que travailler pour élaborer
Lisa Jakson revient ensuite sur des problématiques plus générales -et politiques- avec le retrait des États-Unis de l'Accord de Paris sur le climat plus tôt cette année. Elle précise qu'Apple est l'une des nombreuses entreprises américaines qui restent attachées aux objectifs de réduction du carbone énoncés dans l'accord mondial, rappelant qu'Apple possède
En fin d'entretien, elle évoque quelques mots sur les Paradise Papers, appuya,t les déclarations de Tim Cook et indiquant -une fois encore- qu'Apple est
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Ainsi, les ingénieurs d'Apple ont travaillé à la production de
l'aluminium à faible teneur en carboneutilisé dans l'iPhone 8 dans le cadre de sa volonté pour réaliser des produits plus écologiques. Et, l'ancienne directrice de l'Environmental Protection Agency des États-Unis sous la présidence de Barack Obama parle d'expérience.
Elle rappelle également qu'Apple a été félicité récemment pour sa politique d'extraction responsable de carbone, par Amnesty International sur le suivi de la production de cobalt et par The Enough Project.
Mais elle a été également interrogée sur d'autres sujets d'actualité comme le droit à la réparation, où le fait ne pas permettre de réparer plus facilement les appareils est considéré par certains comme un non-sens dans la politique environnementale de l'entreprise.
Sur le sujet, Lisa Jackson déclare que la firme ne fait que travailler pour élaborer
des appareils durables et respectueux de la planète, qui puissent ensuite être recyclés, et qui, espérons-le, seront réutilisés pour fabriquer d'autres produits. C'est notre objectif ultime. Nous gérons nos propres programmes de réparation, puis nous autorisons et certifions les réparateurs. La question est davantage : dans un appareil de plus en plus complexe, qu'est-ce qui est le mieux pour le client ?Pour elle les réparations effectuées par des tiers seraient même moins fiables et mettraient même en péril la longévité des appareils, sans savoir si elles sont effectuées correctement.
Image Reuters/Dado Ruvic
Lisa Jakson revient ensuite sur des problématiques plus générales -et politiques- avec le retrait des États-Unis de l'Accord de Paris sur le climat plus tôt cette année. Elle précise qu'Apple est l'une des nombreuses entreprises américaines qui restent attachées aux objectifs de réduction du carbone énoncés dans l'accord mondial, rappelant qu'Apple possède
depuis 2012, le premier centre de données qui repose uniquement sur l'énergie renouvelable. Si nous pouvons le faire, vous devriez vous attendre la même chose de chaque entreprise.
En fin d'entretien, elle évoque quelques mots sur les Paradise Papers, appuya,t les déclarations de Tim Cook et indiquant -une fois encore- qu'Apple est
le plus grand contribuable des sociétés au monde. Et nous suivons les lois là où ils sont, nous avons été très clairs sur toutes ces choses.
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