L'emoji qui pleure de rire est de loin le plus utilisé aux US selon Apple
Par June Cantillon - Publié le
Le célèbre
L'emoji n'en est pas à son premier fait d'arme puisqu'en 2015, il devenait le premier de sa caste à être élu
Une des explications possibles à ce plébiscite -qui semble mondial et non réservé à la langue de Jonathan Ive- viendrait de la polyvalence du sujet, capable à la fois d'inspirer la joie et la tristesse, un peu comme une précommande tardive d'iPhone X.
Alors que dès la seconde place, les emojis se tiennent dans un mouchoir de poche, la face pleurant de joie survol le débat. Ce genre d'étude peut sembler futile à première vue, mais elle permet à Apple de cerner les habitudes de ses utilisateurs et, in fine , de proposer du contenu susceptible de répondre à leurs attentes. Une manière comme une autre de nous dire qu'un Animoji
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Face With Tears of Joydomine le classement, fourni par Apple, des emojis les plus utilisés par les anglophones Américains.
L'emoji n'en est pas à son premier fait d'arme puisqu'en 2015, il devenait le premier de sa caste à être élu
mot de l'annéepar le très sérieux Oxford Dictionnary. Aujourd'hui, il nous revient en pleine forme et domine de la tête et des épaules le classement publié par Apple.
Une des explications possibles à ce plébiscite -qui semble mondial et non réservé à la langue de Jonathan Ive- viendrait de la polyvalence du sujet, capable à la fois d'inspirer la joie et la tristesse, un peu comme une précommande tardive d'iPhone X.
Alors que dès la seconde place, les emojis se tiennent dans un mouchoir de poche, la face pleurant de joie survol le débat. Ce genre d'étude peut sembler futile à première vue, mais elle permet à Apple de cerner les habitudes de ses utilisateurs et, in fine , de proposer du contenu susceptible de répondre à leurs attentes. Une manière comme une autre de nous dire qu'un Animoji
popo qui pleure de joieest dans les tuyaux à Cupertino. Il est à noter qu'Apple certifie que l'accès aux informations ayant permis ce classement ne brise pas la sacro-sainte confidentialité chère à la marque, grâce à la technique de
Différential Privacy, capable d'obtenir des données exploitables sans les relier aux informations réelles.
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