Intel (et les autres) ne sont plus très loin des limites physiques pour réduire la taille des transistors. On dit généralement qu'en dessous de 5nm (on est autour de 10), la fuite des électrons sera trop importante pour assurer le fonctionnement des processeurs. Des chercheurs de
Stanford ont peut-être trouvé de quoi redonner un peu d'espoir à la loi de Moore
grâce au diselenide de hafnium et au disélénure de zirconium. Ces deux semi-conducteurs permettrait de créer des puces 10 fois plus petites qu'actuellement avec le silicium, qui resterait toutefois indispensable à la fabrication des composants.
Reste maintenant à commercialiser la chose, ce qui est loin d'être évident... [
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