Apple Pay : la Corée du Sud se la joue à l'Australienne
Par Laurence - Publié le
Apple Pay risque d'être plus que retardé en Corée du Sud. Il y a quelques jours, on apprenait du Korea Herald qu'une réunion urgente -de crise- devait avoir lieu entre Apple et le gouvernement. Celle-ci aurait dû faire suite aux négociations initiées en novembre dernier. A cette époque, des représentants de Cupertino seraient venus présenter le système de paiement, et discuter d'un partenariat avec les banques sud-coréennes.
Or, la situation semble un peu plus complexe et les relations entre Apple et ses interlocuteurs beaucoup plus tendues. Apparemment, depuis octobre dernier, dix entreprises fintech sud-coréennes -utilisant des technologies de l'information et de la communication pour livrer des services financiers- sont entrain de se lancer dans une véritable guerre contre la Pomme.
Ces entreprises ne privilégieraient pas une autre société -Samsung ou Google- mais entendent conserver leur mode de fonctionnement actuel -ainsi que les contrats existants- et veulent éviter un trop grand succès d'Apple Pay qui viendrait à leur couper les vivres.
Elles ont donc saisi la FTC sur le terrain de la concurrence. Elles ouvrent ainsi un second front qui promet d'être aussi ardu -si ce n'est plus- que celui qui oppose les banques australiennes à Cupertino.
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Or, la situation semble un peu plus complexe et les relations entre Apple et ses interlocuteurs beaucoup plus tendues. Apparemment, depuis octobre dernier, dix entreprises fintech sud-coréennes -utilisant des technologies de l'information et de la communication pour livrer des services financiers- sont entrain de se lancer dans une véritable guerre contre la Pomme.
Ces entreprises ne privilégieraient pas une autre société -Samsung ou Google- mais entendent conserver leur mode de fonctionnement actuel -ainsi que les contrats existants- et veulent éviter un trop grand succès d'Apple Pay qui viendrait à leur couper les vivres.
Elles ont donc saisi la FTC sur le terrain de la concurrence. Elles ouvrent ainsi un second front qui promet d'être aussi ardu -si ce n'est plus- que celui qui oppose les banques australiennes à Cupertino.
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