Que doit attendre Apple (et les autres) du Président Donald Tump ?
Par Laurence - Publié le
Alors que les places boursières sont étrangement figées depuis ce matin, les analystes financiers livrent leurs impressions en pleine cérémonie d'investiture du 45ème Président des États-Unis.
En effet, depuis le 9 novembre 2016, le monde de la finance et de l'économie s'interroge sur la future présidence, ou plutôt, sur le crédit et la portée à accorder aux propos de campagne et aux prises de positions du milliardaire depuis sa victoire aux élections américaines.
L'homme, connu pour son franc parler et ses idées tranchées, a énormément critiqué Apple, notamment lors de l'affaire du tireur de San Bernardino. Il s'est entretenu à plusieurs reprises avec Tim Cook, lui demandant un iPhone
Le milliardaire a également reçu les principaux représentants des sociétés tech lors d'une réunion à la Trump Tower, puis Tim Cook en entretien individuel. De ce dernier, très peu d'informations ont d'ailleurs filtré. Là encore, le sort de la Silicon Valley est incertain face aux questions de fiscalité des entreprises américaines (et éventuellement le problème des prix de transfert en Europe), l'immigration (la main d'œuvre étrangère en Californie) et la négociation commerciale (avec l'Asie et surtout la Chine) -autant de sujets qui risquent d'avoir un impact en Europe.
En outre, la position très fermée de Trump vis-à-vis de la Chine concerne également d'autres entreprises comme Starbucks, General Motors et Nike, ayant délocalisé leurs usines sur place ou tirant des revenus important de la Chine.
Une chose est sûre, Apple se trouve dans toutes les catégories contestées par le futur président.
Source 1
Source 2
En effet, depuis le 9 novembre 2016, le monde de la finance et de l'économie s'interroge sur la future présidence, ou plutôt, sur le crédit et la portée à accorder aux propos de campagne et aux prises de positions du milliardaire depuis sa victoire aux élections américaines.
L'homme, connu pour son franc parler et ses idées tranchées, a énormément critiqué Apple, notamment lors de l'affaire du tireur de San Bernardino. Il s'est entretenu à plusieurs reprises avec Tim Cook, lui demandant un iPhone
made in Americaet lui reprochant ouvertement son usine gigantesque en Chine (voir la Cité des iPhone).
Le milliardaire a également reçu les principaux représentants des sociétés tech lors d'une réunion à la Trump Tower, puis Tim Cook en entretien individuel. De ce dernier, très peu d'informations ont d'ailleurs filtré. Là encore, le sort de la Silicon Valley est incertain face aux questions de fiscalité des entreprises américaines (et éventuellement le problème des prix de transfert en Europe), l'immigration (la main d'œuvre étrangère en Californie) et la négociation commerciale (avec l'Asie et surtout la Chine) -autant de sujets qui risquent d'avoir un impact en Europe.
En outre, la position très fermée de Trump vis-à-vis de la Chine concerne également d'autres entreprises comme Starbucks, General Motors et Nike, ayant délocalisé leurs usines sur place ou tirant des revenus important de la Chine.
Une chose est sûre, Apple se trouve dans toutes les catégories contestées par le futur président.
Source 1
Source 2