Après un financement de 34 millions, le "drone à selfie" Lily Camera ne verra pas le jour
Par Didier Pulicani - Publié le
En 2015, le projet
Grâce à sa taille réduite et sa petite télécommande, il suffisait de le placer devant soit, et de lui demander de suivre ses exploits en snow-board, ou simplement de se placer à bonne distance pour faire une photo de groupe. A 499$ pour les précommandes, beaucoup s'étaient rués sur le projet, qui n'était finalement pas si cher par rapport à la concurrence, moins évoluée à l'époque.
Mais depuis, GoPro a présenté son Karma qui fait peu ou prou la même chose (malgré les rappels) et DJI vend des palettes du mavic, qui tient lui-aussi dans une petite valisette. Pourtant, ce n'est pas vraiment la concurrence qui a eu raison du projet, mais plutôt des problèmes de sécurisation de la production. L'air de rien, malgré les partenariats avec l'Université de Berkeley, il n'est pas si évident de créer un tel produit à grande échelle sans une base de financement et de logistique solide (plus de 60 000 modèles avaient été pré-commandés).
Tous les acheteurs seront remboursés, assure la société en charge du projet.
Source (Via)
Lily Cameraavait fait sensation au CES ! Ce petit drone de poche permettait en effet de se filmer et de prendre des photos en un clin d'oeil.
Grâce à sa taille réduite et sa petite télécommande, il suffisait de le placer devant soit, et de lui demander de suivre ses exploits en snow-board, ou simplement de se placer à bonne distance pour faire une photo de groupe. A 499$ pour les précommandes, beaucoup s'étaient rués sur le projet, qui n'était finalement pas si cher par rapport à la concurrence, moins évoluée à l'époque.
Mais depuis, GoPro a présenté son Karma qui fait peu ou prou la même chose (malgré les rappels) et DJI vend des palettes du mavic, qui tient lui-aussi dans une petite valisette. Pourtant, ce n'est pas vraiment la concurrence qui a eu raison du projet, mais plutôt des problèmes de sécurisation de la production. L'air de rien, malgré les partenariats avec l'Université de Berkeley, il n'est pas si évident de créer un tel produit à grande échelle sans une base de financement et de logistique solide (plus de 60 000 modèles avaient été pré-commandés).
Tous les acheteurs seront remboursés, assure la société en charge du projet.
Source (Via)