Des écoles primaires suisses s'équipent de tableaux électroniques pour la rentrée
Par Laura Tibourcio de la Corre - Publié le
Alors qu'il est question en France de la création d'une grande école du numérique depuis un moment, cette rentrée scolaire a été l'occasion pour de nombreux écoliers suisses de découvrir de nouveaux tableaux électroniques dans leurs salles de classe.
Ainsi, les professeurs de la nouvelle école primaire des Pâquis, à Saint-Sulpice, peuvent utiliser les dix-sept tableaux électroniques disponibles dans l'école. Ils peuvent d'ailleurs surfer sur internet, télécharger des applications, et échanger des données, ce qui constitue un réel pas en avant par rapport aux projecteurs souvent utilisés selon Leonhard Donner, porte-parole de Sahara, le fabricant des tableaux Clevertouch en question.
Et à ceux qui estiment que ces tableaux sont un privilège que seules les communes fortunées peuvent s'offrir pour environ 10 000 francs pièce, Yves Allemann, responsable des Ecoles à Saint-Sulpice, répond que les bons vieux tableaux noirs sont presque aussi coûteux. Qu'en pensez-vous ?
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Ainsi, les professeurs de la nouvelle école primaire des Pâquis, à Saint-Sulpice, peuvent utiliser les dix-sept tableaux électroniques disponibles dans l'école. Ils peuvent d'ailleurs surfer sur internet, télécharger des applications, et échanger des données, ce qui constitue un réel pas en avant par rapport aux projecteurs souvent utilisés selon Leonhard Donner, porte-parole de Sahara, le fabricant des tableaux Clevertouch en question.
De nombreuses écoles ont fait ce pas en Suisse romandeexplique-t-il.
Sur Vaud, il y a déjà quelques Clevertouch à Orbe et à La Tour-de-Peilz. Pas autant qu’à Saint-Sulpice. Pour les enfants, qui naissent si je puis dire avec une tablette, c’est un outil très intuitif. Et il y a plein d'utilisations différentes possibles.
Et à ceux qui estiment que ces tableaux sont un privilège que seules les communes fortunées peuvent s'offrir pour environ 10 000 francs pièce, Yves Allemann, responsable des Ecoles à Saint-Sulpice, répond que les bons vieux tableaux noirs sont presque aussi coûteux. Qu'en pensez-vous ?
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