Celebgate : Apple a aidé le FBI pour identifier les pirates d'iCloud
Par Didier Pulicani - Publié le
En Août dernier, un grand nombre de célébrités -parmi lesquelles Jennifer Lawrence, Kate Upton, Anna Kendrick, ou encore Christina Hendricks- voyaient leurs photos privées dispersées sur internet.
Ces stars ayant toutes en commun d'avoir un compte iCloud, les soupçons se sont rapidement tournés vers Apple et sa plateforme en ligne. Si l'on ne sait pas exactement comment le pirate a récupéré les identifiants et les mots de passe, les pistes s'orientaient apparement vers les questions de sécurité, souvent faciles à trouver avec les célébrités.
9 mois après les faits, l'enquêtes semble se tourner vers un américain de 30 ans, originaire de Chicago. Emilio Herrera -c'est son nom- aurait ainsi accédé à plus de 572 comptes iCloud différents pour environ 3 263 sessions d'utilisation. Si Apple n'a pas tiqué sur le moment, elle a en revanche fourni ces détails au FBI qui a pu identifier l'individu... pas très malin, puisqu'il aurait commis ces infractions depuis son domicile avec sa véritable adresse IP. Il existe aujourd'hui quantité de solution (VPN, Tor...) pour se prémunir un minimum contre un tel traçage.
Cependant, le
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Ces stars ayant toutes en commun d'avoir un compte iCloud, les soupçons se sont rapidement tournés vers Apple et sa plateforme en ligne. Si l'on ne sait pas exactement comment le pirate a récupéré les identifiants et les mots de passe, les pistes s'orientaient apparement vers les questions de sécurité, souvent faciles à trouver avec les célébrités.
9 mois après les faits, l'enquêtes semble se tourner vers un américain de 30 ans, originaire de Chicago. Emilio Herrera -c'est son nom- aurait ainsi accédé à plus de 572 comptes iCloud différents pour environ 3 263 sessions d'utilisation. Si Apple n'a pas tiqué sur le moment, elle a en revanche fourni ces détails au FBI qui a pu identifier l'individu... pas très malin, puisqu'il aurait commis ces infractions depuis son domicile avec sa véritable adresse IP. Il existe aujourd'hui quantité de solution (VPN, Tor...) pour se prémunir un minimum contre un tel traçage.
Cependant, le
Bureauindique que l'homme n'a pas été arrêté, sans plus de détails. Il est possible que les preuves manquent encore pour conduire à une arrestation ferme (certains pirates utilisent par exemple les réseaux WiFi domestiques pour commettre leurs méfaits).
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