L'Apple Watch n'aurait pas de surveillance du glucose avant 3 ou 7 ans !
Par Laurence - Mis à jour le
Après plusieurs années de travail et recherches, Apple est-elle sur le point d'avoir réaliser son projet de faire de l'Apple Watch, la première montre connectée capable de mesurer la glycémie, et ce, de manière non invasive ?
Dans sa newsletter dominicale, Mark Gurman vient noircir un horizon plutôt optimiste. En effet, bien que la fonction soit décrite comme
Ce n'est pas la première fois que la presse s'empare de ce dossier, même Mark Gurman y a laissé de l'encre au fil des ans. Pour rappel, le projet a commencé à être dévoilé vers 2018, mais la firme californienne aurait commencé à travailler sur le sujet depuis bien longtemps, a priori à la suite de son acquisition de RareLight en 2010.
La société a ensuite utilisé une start-up appelée Avolante Health LLC pour développer la technologie dans une installation secrète avant de la transférer à son Exploratory Design Group (XDG), une équipe d'élite au sein d'Apple.
En février dernier, le journaliste de Bloomberg avait déjà annoncé une avancée majeure. Cupertino aurait ainsi développé une puce photonique qui utilise la technologie de la spectroscopie d'absorption optique. Cette dernière consiste à déterminer la concentration et la structure d'une substance en mesurant l'intensité d'un rayonnement électromagnétique sur des longueurs d'onde différentes. Plus simplement, la lumière d'un laser sous la peau permettrait de déterminer la concentration de glucose dans le corps.
Il précise qu'Apple
Pour le moment, la technologie est donc encore bien trop grande pour une utilisation portable. Les ingénieurs de Cupertino testeraient un prototype de la taille d'un iPhone, qui sera porté sur la jambe d'un utilisateur. Il s'agit d'une réduction considérable de la taille par rapport à la version précédente de la taille d'un plateau de table. Une avancée considérable, mais un très, très long chemin encore à parcourir.
Plusieurs années à attendre !
Dans sa newsletter dominicale, Mark Gurman vient noircir un horizon plutôt optimiste. En effet, bien que la fonction soit décrite comme
viable, elle ne serait pas disponible sur l'Apple Watch avant au moins quelques années,
trois à sept ans de plus au moins.
Ce n'est pas la première fois que la presse s'empare de ce dossier, même Mark Gurman y a laissé de l'encre au fil des ans. Pour rappel, le projet a commencé à être dévoilé vers 2018, mais la firme californienne aurait commencé à travailler sur le sujet depuis bien longtemps, a priori à la suite de son acquisition de RareLight en 2010.
La société a ensuite utilisé une start-up appelée Avolante Health LLC pour développer la technologie dans une installation secrète avant de la transférer à son Exploratory Design Group (XDG), une équipe d'élite au sein d'Apple.
Une question de taille
En février dernier, le journaliste de Bloomberg avait déjà annoncé une avancée majeure. Cupertino aurait ainsi développé une puce photonique qui utilise la technologie de la spectroscopie d'absorption optique. Cette dernière consiste à déterminer la concentration et la structure d'une substance en mesurant l'intensité d'un rayonnement électromagnétique sur des longueurs d'onde différentes. Plus simplement, la lumière d'un laser sous la peau permettrait de déterminer la concentration de glucose dans le corps.
Il précise qu'Apple
a encore besoin de perfectionner les algorithmes et les capteurs embarqués, notamment au niveau de cette fameuse puce photonique, qu'il faut absolument réduire pour la faire rentrer dans l'Apple Watch.
Pour le moment, la technologie est donc encore bien trop grande pour une utilisation portable. Les ingénieurs de Cupertino testeraient un prototype de la taille d'un iPhone, qui sera porté sur la jambe d'un utilisateur. Il s'agit d'une réduction considérable de la taille par rapport à la version précédente de la taille d'un plateau de table. Une avancée considérable, mais un très, très long chemin encore à parcourir.