L'UE approuve l'acquisition de Fitbit par Google (sous conditions)
Par Laurence - Publié le
Google vient d'obtenir aujourd'hui l'approbation de l'Union Européen pour acheter Fitbit à hauteur de 2,1 milliards de dollars. Mais cette acquisition devra respecter un certain nombre de conditions, notamment sur la collecte et l'utilisation des données relatives à la santé des utilisateurs.
En pratique, la Commission a conclu avec la firme américaine un accord valable pour 10 ans avec la possibilité d'une prolongation de même durée, et ce, afin de répondre aux problèmes de concurrence. L'accord avait également suscité des critiques de la part des défenseurs de la vie privée, aussi bien en Europe qu'aux Etats-Unis. Beaucoup craignaient (ou craignent encore) la puissance commerciale d'Alphabet et de l'utilisation des informations sensibles pour de la publicité ciblée.
Ainsi, la firme devra stocker les données utilisateur Fitbit séparément de celles de Google utilisées pour la publicité et n'utilisera pas les données issues des smartwatches et des traqueurs pour Google Ads. Les utilisateurs pourront décider de stocker leurs informations sur leur compte Google ou Fitbit. Ils pourront également continuer d'utiliser l'application Fitbit ou la web app, sans frais d'accès et sous réserve du consentement de l'utilisateur.
Rappelons que Fitbit vient de sortir sa Fitbit Sense qui se pose en sérieuse concurrente de l'Apple Watch (ou la Samsung Galaxy Watch 3). Outre son autonomie, cette dernière affiche des qualités indéniables : ECG, GPS, fréquence cardiaque, suivi du sommeil, réveil, gestion de l'activité, santé menstruelle, affichage permanent (tiens, tiens...) ou notifications de certaines fonctions sociales comme les SMS / appels /mails.
Elle est également dotée d'un capteur AED, qui détecte l’activité électrodermale. Ce dernier lui permet un suivi avancé du stress et de différentes humeurs via une nouvelle app Scan AED. Enfin, elle affiche des notifications de fréquence cardiaque (élevée ou basse) et enfin un capteur de température cutanée au poignet.
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En pratique, la Commission a conclu avec la firme américaine un accord valable pour 10 ans avec la possibilité d'une prolongation de même durée, et ce, afin de répondre aux problèmes de concurrence. L'accord avait également suscité des critiques de la part des défenseurs de la vie privée, aussi bien en Europe qu'aux Etats-Unis. Beaucoup craignaient (ou craignent encore) la puissance commerciale d'Alphabet et de l'utilisation des informations sensibles pour de la publicité ciblée.
Ainsi, la firme devra stocker les données utilisateur Fitbit séparément de celles de Google utilisées pour la publicité et n'utilisera pas les données issues des smartwatches et des traqueurs pour Google Ads. Les utilisateurs pourront décider de stocker leurs informations sur leur compte Google ou Fitbit. Ils pourront également continuer d'utiliser l'application Fitbit ou la web app, sans frais d'accès et sous réserve du consentement de l'utilisateur.
Rappelons que Fitbit vient de sortir sa Fitbit Sense qui se pose en sérieuse concurrente de l'Apple Watch (ou la Samsung Galaxy Watch 3). Outre son autonomie, cette dernière affiche des qualités indéniables : ECG, GPS, fréquence cardiaque, suivi du sommeil, réveil, gestion de l'activité, santé menstruelle, affichage permanent (tiens, tiens...) ou notifications de certaines fonctions sociales comme les SMS / appels /mails.
Elle est également dotée d'un capteur AED, qui détecte l’activité électrodermale. Ce dernier lui permet un suivi avancé du stress et de différentes humeurs via une nouvelle app Scan AED. Enfin, elle affiche des notifications de fréquence cardiaque (élevée ou basse) et enfin un capteur de température cutanée au poignet.
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