Apple et Stanford : l’étude « Apple Heart Study » affiche complet !
Par Laurence - Publié le
Depuis le mois de novembre 2017, Apple et l'Université de Stanford (Californie) mènent une étude conjointe, intitulée Apple Heart Study. Cette dernière utilise les données de centaines d’Apple Watch pour identifier les rythmes cardiaques irréguliers, y compris ceux provenant de pathologies plus graves comme la fibrillation auriculaire.
Dans une mise à jour publiée sur le site dédié au programme, Apple et l'Université Stanford ont annoncé ne plus accepter de nouveaux participants à leur étude, depuis le 1er août 2018. Pour autant, le programme ne s’arrête pas encore, et se poursuit jusqu’à sa fin toujours prévue pour le 31 janvier 2019. Pour y participer, il fallait être possesseur d’une Apple Watch Series 1 ou ultérieure, d’au moins un iPhone 5s et avoir au minimum 22 ans.
Ces dernières années, la santé est devenue un des centres d’intérêt privilégié de Cupertino. La firme n’hésite pas à mettre en avant la façon, dont certains médecins américains utilisent ses technologies pour la prise en charge de leurs patients, livrant au passage de nombreux retours d'expérience. Parmi eux, on note d'ailleurs assez fréquemment les interventions du Dr Robert Harrington, cardiologue et président du département de médecine de Stanford.
Un des avantages promus est que l’Apple Watch ne nécessiterait pas de dispositif annexe pour assurer le suivi du rythme cardiaque. En effet, une récente étude montre le potentiel de la montre, qui affiche une précision de plus de 97%. De plus, de nombreux brevets rappellent régulièrement les avancées possibles dans le domaine de la santé en général et de la surveillance cardiaque en particulier pour Cupertino.
Source
Dans une mise à jour publiée sur le site dédié au programme, Apple et l'Université Stanford ont annoncé ne plus accepter de nouveaux participants à leur étude, depuis le 1er août 2018. Pour autant, le programme ne s’arrête pas encore, et se poursuit jusqu’à sa fin toujours prévue pour le 31 janvier 2019. Pour y participer, il fallait être possesseur d’une Apple Watch Series 1 ou ultérieure, d’au moins un iPhone 5s et avoir au minimum 22 ans.
Ces dernières années, la santé est devenue un des centres d’intérêt privilégié de Cupertino. La firme n’hésite pas à mettre en avant la façon, dont certains médecins américains utilisent ses technologies pour la prise en charge de leurs patients, livrant au passage de nombreux retours d'expérience. Parmi eux, on note d'ailleurs assez fréquemment les interventions du Dr Robert Harrington, cardiologue et président du département de médecine de Stanford.
Un des avantages promus est que l’Apple Watch ne nécessiterait pas de dispositif annexe pour assurer le suivi du rythme cardiaque. En effet, une récente étude montre le potentiel de la montre, qui affiche une précision de plus de 97%. De plus, de nombreux brevets rappellent régulièrement les avancées possibles dans le domaine de la santé en général et de la surveillance cardiaque en particulier pour Cupertino.
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