L'Apple Watch pourrait utiliser la reconnaissance biométrique par le rythme cardiaque
Par Laurence - Publié le
Un brevet récemment déposé prévoit que l'Apple Watch pourrait être capable d'identifier son propriétaire, grâce à son rythme cardiaque. Aujourd'hui, elle mesure et utilise déjà le pouls en retranscrivant -par exemple- les résultats dans l’app Santé de l'iPhone.
Demain, elle pourrait utiliser des diodes pour effectuer une identification biométrique en se basant sur les caractéristiques du système vasculaire de l'utilisateur. Les informations lumineuses obtenues pourraient être comparées à celles mémorisées et rattachées à un individu.
Il s'agit de la technique utilisée dans les pléthysmographies, examens courants dans le cadre des pneumopathies (au niveau des examens de type EFR ou du suivi général des pathologies pulmonaires) ou des bilans opératoires. Transposée à l'Apple Watch, elle permettrait ainsi de se passer du code PIN ou de la vérification par l'iPhone.
En effet, à l'image des empreintes digitales, la voix ou l'iris, la fréquence du cœur -comme la forme des pics d'un électrocardiogramme- est propre à chacun et permet de l'identifier a priori sans marge d'erreur, encore faut-il disposer de l'appareil permettant de la reconnaître.
Ce type de biométrie a fait l'objet de nombreux travaux et une chercheuse de l'université de Toronto a d'ailleurs mis au point un capteur cardiaque, HeartID, qui peut être intégré dans un appareil électronique pour servir de système d'authentification biométrique.
S'agissant d'un brevet, on devra toutefois attendre encore un peu avant que notre cœur déverrouille notre Apple Watch.
Source
Demain, elle pourrait utiliser des diodes pour effectuer une identification biométrique en se basant sur les caractéristiques du système vasculaire de l'utilisateur. Les informations lumineuses obtenues pourraient être comparées à celles mémorisées et rattachées à un individu.
Il s'agit de la technique utilisée dans les pléthysmographies, examens courants dans le cadre des pneumopathies (au niveau des examens de type EFR ou du suivi général des pathologies pulmonaires) ou des bilans opératoires. Transposée à l'Apple Watch, elle permettrait ainsi de se passer du code PIN ou de la vérification par l'iPhone.
En effet, à l'image des empreintes digitales, la voix ou l'iris, la fréquence du cœur -comme la forme des pics d'un électrocardiogramme- est propre à chacun et permet de l'identifier a priori sans marge d'erreur, encore faut-il disposer de l'appareil permettant de la reconnaître.
Ce type de biométrie a fait l'objet de nombreux travaux et une chercheuse de l'université de Toronto a d'ailleurs mis au point un capteur cardiaque, HeartID, qui peut être intégré dans un appareil électronique pour servir de système d'authentification biométrique.
S'agissant d'un brevet, on devra toutefois attendre encore un peu avant que notre cœur déverrouille notre Apple Watch.
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