Apple Watch : une puce signée Samsung avec de bonnes capacités d'évolution
Par Didier Pulicani - Publié le
Il aura fallu attendre une quinzaine de jours pour connaitre tous les petits secrets de la carte mère de l'Apple Watch.
En effet, grâce à Chipworks et Ars Technica, on en sait un peu plus sur les entrailles de la montre et plus particulièrement son SoC, cette minuscule boite de silicium qui renferme presque tous les composants électroniques (NFC, WiFi, chargeur, puce audio...) nécessaires à son bon fonctionnement.
Le S1 est donc composé de 29 élements différents, rassemblés sur une puce de 26mm x 28mm. Leur agencement à l'intérieur du SoC a surpris les spécialistes : tous les composants sont ainsi surmoulé avec un composé contenant des sphères de silice ou d'alumine en suspension dans une résine, un procédé apparemment inédit sur une si petite surface.
Plus intéressant encore, la partie CPU/GPU serait gravée par Samsung, via un procédé 28nm. On aurait pu croire qu'Apple exige du coréen les dernières technique en 14 ou 20nm (comme pour l'iPhone 6), alors qu'ici, la finesse de gravure rejoint celles des puces de l'iPhone 5s, qui accuse presque ses 2 ans d'âge. Pour autant, cela laisse à Apple de bonnes marges de manoeuvre pour réduire encore la consommation et augmenter la puissance de la montre d'ici la seconde génération.
Source
En effet, grâce à Chipworks et Ars Technica, on en sait un peu plus sur les entrailles de la montre et plus particulièrement son SoC, cette minuscule boite de silicium qui renferme presque tous les composants électroniques (NFC, WiFi, chargeur, puce audio...) nécessaires à son bon fonctionnement.
Le S1 est donc composé de 29 élements différents, rassemblés sur une puce de 26mm x 28mm. Leur agencement à l'intérieur du SoC a surpris les spécialistes : tous les composants sont ainsi surmoulé avec un composé contenant des sphères de silice ou d'alumine en suspension dans une résine, un procédé apparemment inédit sur une si petite surface.
Plus intéressant encore, la partie CPU/GPU serait gravée par Samsung, via un procédé 28nm. On aurait pu croire qu'Apple exige du coréen les dernières technique en 14 ou 20nm (comme pour l'iPhone 6), alors qu'ici, la finesse de gravure rejoint celles des puces de l'iPhone 5s, qui accuse presque ses 2 ans d'âge. Pour autant, cela laisse à Apple de bonnes marges de manoeuvre pour réduire encore la consommation et augmenter la puissance de la montre d'ici la seconde génération.
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