Apple Watch : une puce digne de la science fiction et autant de RAM qu'un iPhone 4
Par Didier Pulicani - Publié le
Pas facile de rentrer totalement dans les entrailles de l'Apple Watch au delà d'un simple démontage. Il faut dire que pour analyser les circuits imprimés, les outils nécessaires coûtent des dizaines de milliers d'euros, un arsenal disponible uniquement chez une poignée de spécialistes.
C'est finalement chez ABIReasearch que l'on trouvera la première photographie du S1, cette puce qui contient la quasi-totalité des capacités de calcul de la montre : CPU, RAM, contrôleurs... Tous ces composants se cachent à l'intérieur d'un minuscule boitier électronique.
On apprend ainsi que la montre a 512Mo de RAM, 8Go de mémoire flash (de Toshiba/SanDisk) soit environ les spécifications que l'on retrouvait dans un iPhone 4. Du côté de la connectivité, c'est une puce BCM43342 de chez Broadcom qui autorise la toquante à se connecter au WiFi ou au Bluetooth mais le site démontre qu'elle pourrait potentiellement se connecter aux réseaux cellulaires, sous réserve d'avoir les antennes adéquates.
Les chercheurs soulignent un niveau d'intégration profondément inspiré de ce qui existe déjà sur les smartphone, mais avec un niveau de miniaturisation exemplaire. Les accéléromètre/gyroscope ont apparemment repoussé une nouvelle fois les limites de l'électronique moderne.
C'est finalement chez ABIReasearch que l'on trouvera la première photographie du S1, cette puce qui contient la quasi-totalité des capacités de calcul de la montre : CPU, RAM, contrôleurs... Tous ces composants se cachent à l'intérieur d'un minuscule boitier électronique.
On apprend ainsi que la montre a 512Mo de RAM, 8Go de mémoire flash (de Toshiba/SanDisk) soit environ les spécifications que l'on retrouvait dans un iPhone 4. Du côté de la connectivité, c'est une puce BCM43342 de chez Broadcom qui autorise la toquante à se connecter au WiFi ou au Bluetooth mais le site démontre qu'elle pourrait potentiellement se connecter aux réseaux cellulaires, sous réserve d'avoir les antennes adéquates.
Les chercheurs soulignent un niveau d'intégration profondément inspiré de ce qui existe déjà sur les smartphone, mais avec un niveau de miniaturisation exemplaire. Les accéléromètre/gyroscope ont apparemment repoussé une nouvelle fois les limites de l'électronique moderne.