Si personne ne l'a remarqué, c'est que la firme a trouvé une méthode moins contraignante qu'Apple pour vérifier les programmes. La plupart sont d'abord scannés avec des robots -comme le fait déjà l'App Store au moment de la soumission- ce qui permettrait de détecter les malwares et autres bouts de codes inappropriés. Par ailleurs, des équipes bien humaines -mais sûrement moins nombreuses que les lutins- s'arrogeraient désormais le droit d'aller installer et tester les apps avant publication, en sus des robots.
C'est là un vrai tournant dans le système de publication de Google, qui semble se résigner face à la menace grandissante des malwares sur Google Play. Apple pourrait d'ailleurs s'inspirer de la méthode, en ne validant manuellement que les grosses mises à jour et en laissant les robots faire le reste. Aujourd'hui, le délais de validation varie de quelques heure à parfois plusieurs mois, suivant les programmes.
